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Anonymous
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FT. OLIVIA
00h15 Il perd la tête à essayer de comprendre ce qu’il se passe. Pris d’insomnie il aurait mieux fait d’aller se détruire l’esprit a coup de shoot de vodka, aller danser avec une de ses filles avec qui il n’y aurait pas de lendemain.  Tout le monde porte en soit obscurité et lumière, après chacun fais ses choix. Et les siens sont souvent tournés vers l’ombre. Une habitude, c’est dur de raisonner son cœur lorsqu’il a souvent dansé sur une mélodie funèbre. Ce n’est même pas les regrets qui bouffent son esprit, ses pensées invasives, ce brouhaha. Merde. Il a besoin de sortir prendre l’air, s’en griller une, courir. Il y avait comme une raison qui le poussait loin des bras de morphée. Ciel qui maudissait son esprit, des crises d’insomnies, ses humeurs bancales, ses obsessions…. Les âmes fortes ont des sentiments bien plus violents que les autres. De ses souffrances il en fait sa force mais parfois ça le rend tellement instable.  Comment commencer quelque chose de nouveau avec tout cet hier à l’intérieur de toi. C’est trop le foutoir dans son esprit ce soir. Le bordel complet et bien plus depuis que le destin la remit sur sa route, cette rousse, cette personne qu’il a poussé à partir, alors qu’elle ne l’aurait jamais laissé. S’ils se sont retrouvés ce n’est peut-être pas pour rien ?

Lorsque ses pensées sont focalisées sur elle, son téléphone sonne, son nom apparait. Ironie du destin. Son cœur s’emballe, l’idiot, c’est juste un texto. Ça fait un moment qu’ils font ça, à s’écrire, à s’échanger des banalités, lui la drague un peu car c’est Alvaro. Il ne veut pas rentrer une seconde fois dans sa vie pour rien. Les mots alignés ne veulent rien dire, avant qu’il ne lui réponde elle l’appelle. A sa voix, au bruit. Son cœur bat à tout rompre car il s’inquiète, encore un comble lui qui a tendance à se foutre un peu des autres. Il l’entend à peine. « Viens me chercher » enfin il croire entendre ses mots, il n’en sait rien, c’est ce qu’il voulait entendre plutôt oui, personne ne touche à Olivia. Elle lui envoie sa géolocalisons alors il se dit qu’il avait bien compris ou peut-être elle voulait qu'il la rejoigne pour boire avec elle. Il enfile des vêtements aller la sauver en slip ce n'est pas glorieux, il passe une main dans ses caves brun comme s'il voulait être présentable pour elle, il agit tellement bizarrement depuis que son sourire à de nouveaux toucher son esprit.
Il roule peut-être un peu trop fort dans les rues de la ville, serpentant entre les voitures, mais moins longtemps elle sera à cette soirée mieux ça sera. Il gare sa moto devant ce bar qu’il connait un peu, il a bien dû se trouver à sa battre ou à boire dans ces lieux.
S'il n'avait pas écouter sa petite voix intérieur, il serait dans le même état qu’elle s’il avait accepté de sortir, voir pire, il n’a jamais fait dans la demi-mesure.  Encore un coup du destin ? il prend une grande aspiration en poussant la porte, jurant ne pas s’énerver pour se battre. Il ne faut qu’aucun gars soit autour d’elle. Ses yeux tombent de suite sur Olivia, elle est là, accoudée au bar qui doit sans doute la tenir sur ses deux pieds, sa chevelure rousse en pagaille, solaire… il a passé bien quelques années avec elle jamais il ne l’a jamais vu aussi alcoolisée qu’est ce qui lui est arrivé pour boire autant ? qu’importe le plus important c’est qu’il soit là pour elle. Ses yeux balayent la pièce à la recherche de quelconques personnes qui l’aurait accompagné.

Avant qu'un mec aux attentions douteuse, il tapote sur son épaule gauche mais se met à sa droite, un sourire espiègle sur les lèvres. Moqueur il l’a toujours été, surtout avec elle. Il est de suite une meilleure personne, plus la personne qu’il aurait dû être si la vie ne l’avait pas frappé aussi fort. « Ne prends pas trop l'habitude que je vienne te sauver Mademoiselle Sorola. » souffle-il à son oreille dû à la musique trop forte. Bien trop proche. Son regard noir quitte ses prunelles un instant pour vérifier si le type avait fait demi-tour, il sécurise l'environnement, il ne veut pas se battre devant elle. Et son côté un peu opportuniste et joueur prennent le dessus car maintenant il sait qu’elle ne risque rien tant qu’il est là. Il attrape son verre d’entre ses doigts pour sentir ce qu’elle boit. Protecteur.  Il en prend une gorgée pour se donner un peu de courage de ce qui peut suivre. La nuit va être longue.


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Olivia Sorola
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FT. OLIVIA
Elle avait décidée de faire la fête ce soir, plus en beauté que jamais, une fois n’est pas coutume, ce soir, elle partait s’amuser. Elle avait voulu faire la fête avec Ashley alors elle avait bu plus que de raison, mais Ashley avait finit par partir et la laisser seule. Seule face à l’ivresse, seule face à elle même, bien sûr quelques hommes étaient venus la draguer, lui payer des verres, dont un blond plutôt insistant qui ne faisait que lui payer des verres et beaucoup mais pourquoi pas ? Après tout on n’a qu’une vie non ? Cependant la présence de quelqu’un lui manquait, il lui manquait sans doute. Elle avait envie de s’amuser avec lui et pas avec quelqu’un d’autre. Balayant la salle du regard comme si il allait arriver, il ne viendrait pas sans signe de sa part, elle le savait. Elle prit donc son téléphone et l’appela, passer quelques secondes avec lui, quelques minutes ici ce serait déjà ça. Elle se trémousse en attendant, elle est complètement saoule, elle n’a jamais été comme ça, il ne l’a jamais vu comme ça, c’est sûr. Quand elle le voit arrivé, elle est presque surprise, il est bien là, alors elle prend dans ses bras, presque comme si elle n’avait aucune responsabilité dans le fait qu’il soit arrivée : « Alvaroooo, tu es là, trop cool, on va bien s’amuser ! » Dit-elle avait la voix visiblement prise par l’alcool. Elle le prit dans ses bras, un instant furtif mais ils n’avaient plus vraiment l’habitude d’être dans les bras l’un de l’autre, puis comme fière elle ne put s’empêcher de lui dire : « Tu vois le mec là-bas, il est trooop sympa, il m’a payé toutes mes conso avant que tu arrives, vraiment trop cool ». Elle ne se rendait pas compte qu’elle était particulièrement jolie aujourd’hui, dans sa robe noire et moulante, elle ne se rendait pas compte non plus que ce jeune homme lui avait payé des verres autre chose que pour passer la soirée à discuter. Saisissant son cocktail, elle en but quelques gorgées avant de regarder Alvaro, que faisait-il avant, ou était-il, elle ne se rappelait même pas qu’elle l’avait appelé et étant loin de se douter qu’il avait accouru pour elle. Levée de toute timidité après avoir bu quelques verres, elle ne pu s’empêcher de se déhancher un peu contre lui avant de lui dire, la séduction dans les yeux : « Tu vas me montrer un peu comment tu bouges ton corps ? ». Un langage plein de sous-entendus qu’elle n’avait pas l’habitude d’employer mais ce soir, elle était bien différente de tous les autres soirs, ce soir elle n’était pas timide. Ce soir elle n’avait pas peur de qui elle était, ses complexes étaient envolés et il était là, avec elle, elle se sentait plus vivante que jamais. Elle prit sa main et l’entraîna alors sur la piste en regardant à droite et à gauche furtivement, consciente que bien du monde l’entourait.


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FT. OLIVIA
Il a plus de cicatrices que d’amis. Plus de ténèbres que de lumière.  La meilleure solution qu’il a trouvé avec toutes ces années c’est prétendre de pas en avoir de cœur. Il n’est pas le genre de personne à tomber amoureux, il n’est pas non plus le genre de personne dont on tombe amoureux. Trop complexe, trop dangereux, il est comme une étoile vagabonde, errant sans réel trajectoire dans ce monde. Brulant tous ceux s’approchent, qui l’aime. Il ne sait même plus ce qu’il ne va pas chez lui.  Il a décalé son pouls du BPM des autres cœur. Il ne doit pas la laisser tomber amoureuse de lui, c’est pour ça qu’il est parti de sa vie c’était plus simple. Tout est devenu clair depuis la dernière fois, un flashback, il ne se doutait pas qu’elle l’aimait à l’époque mais quand il a repensé au passé, il l’a su, des signes qui ne trompent pas. Lui et sa foutue manie de tout analyser, les insomnies ça aide à refaire le monde, à revoir le passé, a être incapable de vivre dans le présent et être effraye par le futur. Ils s'aimaient sans l'avoir su.

Sans cœur mais si pleins d’émotions. Elle est cette mélodie qui apaise toutes ces craintes, cette mélodie qui serait capable de la changer. Rien ne qu’à le regarder ce soir, à venir la voir la chercher, être dans ce genre d’endroit où les mes comme lui ne sont pas à leur place. La société les fait sentir de cette façon, c’est écrit noir sur blanc que les mecs comme lui non rien à faire ici, rien à faire avec ce genre de fille.  Elle ne se doute pas dans quel merdier elle pose les pieds en trainant avec lui, elle veut voir que sa bonté mais elle oublie les ombres de son cœur. Il sait qu’il ne sera jamais assez bien pour elle. Et quand elle l’enlace de cette façon, qu’il sent son odeur, il est faible face à toute cette tentation, écoutant bêtement l’une des citation culte de O. Wilde. Ses mains se posent avec tendresse dans le haut de son dos pour la lui rendre. Comme s’il était assoiffé de sa lumière, attiré par elle pensant secrètement qu’elle pourrait le mener à bon port il ne peut lui refuser toute ces avances, ignorer ces messages, il aurait pu mais il a encore pris des décisions qui lui semblaient bonne pour lui, car il besoin de quelqu’un comme elle dans sa vie, mais était-ce le cas inversement ? Il calme son myocarde, ses prunelles aussi sombres que son cœur analyse l’environnement, prêt à taper le premier qui s’approche, la regarde avec vice. Son état le fait sourire, il ne l’a jamais vu aussi ivre, libérée. Sa langue se délit, ses chaines se brisent, laissant tomber ce lourd poids de son manque de confiance elle, laissant le bagage de la timidité a l’entrée du bar. « Peu de chose me surprenne mais là. » dit-il avec son foutu sourire, il pose ses iris dans les siennes, elle ne sait pas ce qu’elle fait, il ne doit pas en profiter. « Ne laisse plus personne te payer un verre que moi.» lui souffle t’il a l’oreille, il sait que cela peut mal finir, il sait que même sans boire une goutte d’alcool il peut exploser, taper un pauvre type. Il ne la retiendra pas de boire, pour l’instant, ça ne servirait a rien ils rentreraient en conflit. La question est maintenant est-ce que lui il boit ? car siroter dans le verre dans la rousse ne lui suffit-il pas. Elle balance ce genre de phrase a double sens qu’elle n’oserait prononcer à son habitude. il ne peut s'empêcher de rire, de la regarder amuser. . « Dansons avant. » ses doigts glissent sur la peau de son bras, il ricane, la charrie un peu, un clin d’œil, il finit d’une traite le cocktail qu’il avait en sa possession quitte à avoir les réprimandes de la rousse, mais il ne veut pas qu’elle se défile, que la raison la rattrape alors il l’attrape par la main pour aller danser.  Même si c’est n’est pas le genre de bar dans lequel il traine, son style de musique, qu’il n’est certainement pas à sa place ici, pour voir le sourire d’Olivia il met tout ça de côté.  Lui pour être libre, pour s’amuser il n’a pas besoin d’une goutte d’alcool, encore moins pour danser, comme tout fêtard-dragueur qui se respecte il sait danser. Bien qu'au début il laisse une légère distance entre eux, laissant cette ligne de l'amitié, de l’intimité là où elle est. Il s'approche d'un demi pas vers elle, la foule les pousse à se rapprocher, doucement. excuse ou réalité ? la limite est bientôt franchis, frôler d'un demi pied. Ses iris dévorent les siennes. Lui-même ne sait pas s’il pourra résister longtemps, elle est tellement étincelante ce soir, il ne voit qu’elle.


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Olivia Sorola
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FT. ALVARO
Croire qu’on choisit d’aimer ou d’être aimer est une utopie, elle est tombée sur lui, devant ce supermarché comme une guêpe tombe dans l’eau de la piscine pour boire un peu d’eau et pour survivre. Et après c’est trop tard, le poids l’entraine vers l’eau et elle se noie. Ils se sont noyés l’un dans l’autre, ils se sont fait du mal aussi. Des souvenirs qu’elle peut pas pardonner encore aujourd’hui, des moqueries qui reste enfoncés dans son crâne mais heureusement la vodka et le rhum apaise et lui font oublier qu’il a été son ennemi, qu’il l’est toujours un peu car quand elle se regarde dans la glace, elle n’est jamais satisfaite. Heureusement, ce soir il n’y a pas ce genre de problème. Ce soir elle peut faire quelque chose qu’elle va regretter le lendemain, ce soir elle est presque une autre fille, celle qui l’aurait pu connaitre dans un bar, une boite. Mais non, ça ne leur ressemble pas ils valent mieux que cela. Elle se met à rire quand il affirme que peu de choses le surprenne, il n’est pas au bout de ses surprises, ce soir elle est en feu, en folie, en furie. Ce soir elle est capable de tout et peu tout faire. Elle lui lance avec un regard plein de sous-entendus : « Je peux te surprendre dans bien des domaines, Alvaro Zahera ». Elle est bien entrain de parler de sexe, avec un homme très attirant. Qu’est devenu Olivia Sorola ? Où est-elle caché ? Il faut bien profiter d’elle ce soir car celle qui sera là demain ne tiendra peut être pas le même langage. Enfin, doit-on justement profiter de son état ou simplement la calmer et lui prendre la main. Elle se met à rire quand il lui dit que seul lui doit lui payer des verres, essayerait-il de marquer son territoire, de lui faire comprendre qu’elle lui plait un peu plus. Ils jouent un jeu dangereux, l’un ou l’autre va regretter, l’un ou l’autre va y laisser des plumes mais pour l’instant elle veut juste s’amuser : « Hum, t’es un peu possessif comme garçon, mais ça veut dire aussi que toutes les filles n’ont pas le droit d’avoir de verre de ta part si j’accepte ». Et évidemment qu’elle accepte, ce blondinet, ce Pedro, Pablo, elle s’en fiche tellement. Maintenant qu’il est là qu’est ce qui pourrait bien être plus important que lui ? Il faut l’avouer, elle aime aussi bien qu’elle déteste Alvaro mais aujourd’hui seulement le premier sentiment l’emporte sur l’autre, ne pouvant empêcher son cœur de parler plus longtemps, il l’emmène danser. Il lui prend la main, elle voudrait la tenir des années durant tellement elle se sent bien, invisible, elle est là où elle doit être et elle a jamais ressenti ça de sa vie, toujours l’impression qu’elle était de trop ou qu’elle allait gêner mais non. Elle peut pas s’empêcher de murmurer dans ses oreilles, en lui faisant une sorte de câlin approximatif : « Je me sens si invincible quand tu es avec moi, si forte, j’aimerais que tu ne partes jamais d’avec moi… ». Certains verront derrière ses mots des paroles d’une fille ivre, d’autre comprendront qu’elle est sincère, l’alcool exagère peut être un peu les choses mais elle a jamais voulu être éloigner de lui au fond. Cela lui a fait mal qu’il parte de chez elle. Mais le voir sous son toit avec Diana était encore bien plus difficile à l’époque, le voir embrasser une autre, coucher avec une autre. Elle avait pas eu le choix. Et ils sont là à danser, langoureusement. Elle n’a pas peur, elle vient de lui dire, ce soir elle est invincible, ce soir, elle est prête à braver tous les dangers. Danser coller-serrer avec lui, sentir son corps contre le sien. Elle s’en tordrait sans doute le ventre si elle était dans son état normal mais maintenant elle profite juste du moment. Si agréable d’avoir sa main dans son dos et leurs corps qui se collent. Ses yeux perçants qui semble lui dire, embrasse moi à chaque seconde mais elle n’ose pas. On ne va pas quand même attendre d’elle qu’elle fasse le premier pas, elle reste Olivia ? Elle continue de danser, se mettant dos à lui, lui offrant un twerk qui ferait pâlir Drake et qui ferait sans doute bégayer Alvaro, quoi que sa bouche est peut être pas la partie de son corps qui est le plus en difficulté après cette danse. Elle flirte avec le danger mais elle adore ça, soudain, elle prend sa tête et l’approche de la sienne. Un baiser ? Simplement une proposition. « Je te proposes un jeu, chacun doit exécuter l’ordre de l’autre, tu veux ? ». Chasser le naturel, il revient au galop, chasser la jeune fille sage et prude, elle n’est jamais très loin. Elle a beau danser, elle ne veut pas être une de ses filles avec qui il va coucher parce qu’il l’aura pécho en boite ou dans un bar. Un bar d’ailleurs ou personne ne semble être raccord, ou eux même sont pas raccords. Ils sont plus beaux que ça, il mérite mieux que ça. Elle veut pas être la fille numéro 15 de l’année qu’il aura embrasser sous des néons miteux entre deux vodkas, elle veut un moment à eux, être unique. Un soir au moins. « 1er ordre : emmène moi au bord de la mer, sur la plage, avec ta super moto ! ». Il avait encore pas assez bu pour être ivre, il pouvait conduire sans risque et la plage n'était qu'a 6 minutes. Elle avait envie d’être là-bas, seule avec lui. Le reste de la nuit, la tentation à laquelle ils succomberaient, peut être qu’elle le savait mais au moins qu’elle se sente  en phase avec lui. Ne plus avoir le blondinet dans le champ visuel et des odeurs de transpiration de ceux qui dansent à côtés.

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FT. OLIVIA
Ses mains, sans la toucher, l’invitent à se rapprocher un peu plus, franchissant une à une les barrières de l’intimité. Sentir son corps proche du sien lui procure quelques petites décharges électriques, son myocarde s’emballe en sentant le parfum sucré qu’émane sa chevelure, cette fille elle a tout pour le faire craquer. Son corps entraine celui d’Olivia dans cette danse enivrante, il lui lance un sort, elle est presque à sa merci. Il sent son souffle sur ses lèvres, a bien des reprises il aurait pu lui voler un baiser mais il est trop tôt pour ça, elle doit céder la première. Dévorant ses iris des siennes, la séduction des yeux. La plus immédiate, celle qui se passe de mots, seuls les regards s’enchevêtrent dans une sorte de duel. Ils sourient s’approche d’elle comme s’il allait goute ses lippes, sa main effleure sa joue repoussant les mèches vagabonde ornant le visage de sa la rousse, ses doigts caressent avec légèreté sa nuque et il vient susurrer doucement à son oreille.  « Tu es tellement belle. » Calmant son rythme cardiaque de cette danse endiablé qui ne ressemblait en rien a un petit slow de télénovela. Un rictus s’affiche sur son minois, avec cette envie terrible de défoncer cette porte si longtemps fermée. Elle se rapproche de lui, il sent sa poitrine contre son torse, son souffle sur ses lèvres, ils sont si proche physiquement, mentalement ils se sont perdus tous deux en chemin.  Perturbant, sa lucidité vrille comme s’il avait pris un shot de tequila. Doucement, comme à la recherche d’un moment de tendresse, leurs lèvres s’effleurent, aériennes. Une simple caresse, ne franchisant aucune barrière. Juste ce léger toucher entre deux lèvres qui se cherchent. Il ne peut continuer, comme si cela lui a été interdit alors, ses yeux se plongent dans les siens. Elle ignore l’effet qu’elle a sur lui, elle le rend fou, elle est trop éblouissante pour lui, il est trop sombre pour elle. « Je t’emmène ou tu veux Livia » ou ice n’est pas une mauvaise idée de sortir de cet endroit, éloigné la tentation. S’il reste aussi près il dévore ses lèvres, elle le cherche il le sait. Elle est éméchée la poussant a agir de la sorte, elle a des excuses à lui fournir si elle regrette, lui pas. Il ne veut pas qu’elle lui fasse de reproches, il ne veut pas abuser de son état seconde.  Il se recule, ne touchant plus sa peau, n’ayant plus de contact avec elle. Il ne peut rester plus rester plus longtemps aussi proche d’elle, non que cela le blesse au contraire il a l’impression que cette caresse l’a guéri d’une de ses nombreuses blessures d’esprit. Il respire bruyamment, il a perdu l’habitude que son cœur batte de telle manière dans une telle situation lui qui enchaine les coups d’un soir, les relations futiles. Son regard qui ne cessait chercher le sien, le fuit désormais. Reprends-toi. Toute cette énergie qui émane d’eux est électrique, cet aura qu’elle dégage si diffèrent le rend fou. Bien des hommes aiment les femmes qui ont confiance en elle, il n’y échappe pas. Si ce n’était pas Olivia il l’aurait déjà embrassé, mais il ne veut lui voler ce baiser car il aurait trop l’impression d’abuser d’elle. Au final ce n’est pas un bougre, pas avec elle tout du moins, de sa lumière elle éclaircit l’obscurité de son âme. « Viens. » sa main glissé le long de son bras pour la faire languir, lui procurer des sensations, lorsque ses doigts trouvent les siens ils s’y entremêlent l’attirant hors de cette foule, loin des problèmes. Il croise un blond qui les regardent avec insistance mais au regard que l’espagnol lui lance ce dernier se ravisse, laissant partir sa proie. Tant mieux il n’aura à pas à se battre, elle ne le verra pas vriller, exploser, c’est une bonne chose. Elle aurait peur de lui sinon, il ne veut pas lire cette émotion dans ses iris. Il tient trop à elle pour ça. Elle ne doit pas le voir exploser, il ne veut pas qu’elle le déteste. Les nuits sont encore froides à Barcelone, l’air frais les fouette au visage, lui éclaircit un peu les idées et cet a cet instant qu’il lui lâche la main. Moment de lucidité il se tourne vers elle, posant sa main sur son épaule. « Tu ne seras pas trop soule pour bourrée sur ma moto ? » moqueur il se baisse légèrement pour être à sa hauteur, dévorant ses yeux, remettant cette proximité sur eux. Lui n’a pas l’excuse de l’alcool, il ne fera pas une action qu’il regrettera. Sa main vient se loger dans sa nuque, son pouce caressant l’arrête de sa mâchoire. A son tour de faire monter un peu la température, elle joue avec son cœur, il va faire de même. « 2eme ordre. » son pouce se décale sur ses lèvres, Alvaro n’est pas ce genre de chevalier servant de la raison. Le fou se laisse toujours guider par ses pulsions, au diable les bonnes actions, laissons place au désir. « Embrasse-moi. » sombre fou.


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FT. ALVARO
Elle est tellement belle ? Elle peine à croire ce qu’il lui dit, s’en souviendra-t-elle demain ? Un sourire si beau se dégage d’elle, elle a rêve ses mots. Combien de fois avait-elle attendu qu’il vienne la rejoindre après qu’ils se soient dis bonne nuit, qu’il revienne l’embrasser après une partie de leurs jeux vidéos préférés, combien de fois avait-elle imaginé qu’il viendrait lui faire pleins de beaux compliments et qu’enfin quelque chose pourrait naitre en eux. Oui, elle avait rêvé tout cela. Maintenant c’était une réalité et elle osait pas le croire. Elle espérait juste une chose, que cette fois, il soit sincère, car la peur était toujours là, bien ancrée en elle. Peur qu’il se moque, peur qu’il ne soit pas authentique. Peur, tout simplement qu’il joue avec elle. Il était dangereux car il pouvait la briser en deux en un fragment de seconde, elle aimerait avoir ce même pouvoir, pas pour le briser, elle n’aurait jamais le cœur de faire ça, mais pour le rendre plus fort. Pour qu’il prenne enfin conscience de la personne qu’il est. Ils quittent la boite, le bar et ce blond. Elle le regarde mais qu’est ce qu’elle s’en fiche, elle a désormais le plus bel homme à son bras. Celui qu’elle voudrait avoir pour SIEN. Une utopie, sans doute. Il fait chaud, elle a chaud. Toute cette énergie entre eux, ils ont jamais été proche, tout ça la travaille. Il faut qu’elle souffle, qu’elle respire, qu’elle oublie ses yeux cherchant les siens, si beau. Brutalement dehors, elle prend un peu d’air frais. Il lui lâche la main et une sorte de peur lui revient, a-t-il honte de se balader main dans la main avec elle ? Maintenant qu’ils sont dehors, qu’on pourrait les voir. Elle ne veut pas lui procurer de la honte, au contraire, si elle avait un petit ami comme lui, elle serait super fière même si Alvaro n’est pas un ange, ni un enfant de cœur, elle sait reconnaitre ses bons côtés. Peut être sera-t-elle celle qui les fera grandir, emportant derrière elle l’ombre de son lourd passé ? Pourtant il la taquine de nouveau, oui il rentre bien dans son jeu. Elle se met à rire, avant de répondre : « Je n’ai bu que 5 cocktails et 2 shooters, je suis tout sauf saoule, et puis je n’ai pas grand-chose à faire à part m’agripper à ton corps musclé et me laisser conduire ». 5 cocktails, 2 shooters, c’était peut être pas la cuite du siècle mais quand on a jamais bu et rien mangé, ça peut mettre dans un sale état visiblement. Elle avait déjà hâte d’être sur cette plage, avec lui, moment d’intimité mais Alvaro n’avait pas oublié le jeu qu’elle avait mis en place. Ils sont proches, trop proche, il pose sa main sur son cou, sur sa joue, sur ses lèvres. Veut-il jouer ? Qui va gagner ? La température monte de plus en plus et il lui donne son ordre : un baiser. Tiens, le grand Alvaro tombeur de ses dames est trop timide pour l’embrasser lui-même. Elle a l’impression de bouillir, d’être en feu. Elle approche sa bouche de la sienne avant de lui murmurer : « Je ne vais pas abdiquer à mon propre jeu, mais je ne suis pas naïve Alvaro, tu es sorti de boite ou de bar avec sans doute toute une liste de conquête. Je ne suis pas comme les autres, soit je clôturerais la liste, soit je n’en ferais pas partie ». Olivia Sorola prend les devants, elle le met en garde, il ne pourra pas la mettre dans son lit et faire comme si il n’avait pas eu connaissance des conséquences. Elle n’a pas une grande estime d’elle-même mais elle sait une chose : elle est pure, authentique et sincère, elle ne triche pas et elle ne veut pas qu’Alvaro triche non plus, pas après tout ce qu’ils ont vécus. Et même si elle lui en veut encore, même si elle se rappelle de sa trahison, même si sans doute elle s’en mordra les doigts le lendemain. Elle approche son visage du sien encore un peu plus, quelques millimètres et son cœur qui bat la chamade, son ventre qui semble danser la java. Elle avait entendu ça, par des copines, le fait d’avoir des papillons dans le ventre une réaction physique quand on embrasse celui qu’on aime et là, c’est la première fois qu’elle le ressent. Elle pose ses lèvres sur les siennes et c’est assez puissant. Son ventre se tord et son cœur bat, il lui fait un effet dingue mais l’alcool donne des ailes. Elle passe ses mains dans son cou et sans attendre la permission du beau brun, elle prolonge le baiser, mêlant sa langue à la sienne pour un baiser des plus sensuels. L’effet de l’alcool lui donne une assurance dingue, elle le plaque légèrement contre sa moto pour continuer de l’embrasser avec fougue et passion, puis elle se détache de lui. Elle l’avait dit, elle pouvait le surprendre et dans bien des domaines, elle la première ne pensait pas que les baisers ou le sexe pourrait en faire partie. Une bouffée de chaleur immédiate l’envahie, comme elle aurait envie de lui sauter dessus, oui, elle a envie d’une étreinte des plus charnels et des plus proches. Une qu’elle n’a jamais vécue. Son ventre cri une mélodie qu’elle n’a jamais entendu de sa vie, mélange d’amour et de désir. « J’ai besoin de plus en plus d’un bain de minuit Al’ , faut que je me rafraichisses ». Au départ cette histoire de plage c’était pour le côté romantique mais plus le temps passé, plus elle avait besoin d’être refroidie, et puis c’était à son tour de donner les ordres non ?

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FT. OLIVIA
Loin d'être en danger, le danger c'est lui. Il est de ceux qui se moque bien des enjeux d’une partie aussi dangereuse, c’est un joueur, c’est une faible face de tel enjeu, face a une Olivia solaire. Il n’est pas des plus raisonné, il n’est pas un chevalier servant. Bien qu’il empêcherait quiconque s’approcher d’elle, il attaquerait à la gorge toute âme qui lui veut du mal mais il oublie une chose il na la protège pas de lui-même. Elle ne voit que sa lumière, elle ne le connait pas vraiment. Elle l’idéalise peut-être un peu trop et lui il est aveugle par cette lumière qu’elle dégage, attire à elle. Plus elle riait plus son cœur en devant accro. Tout est foutu mais le déni a un goût sucré. Leurs lèvres s'effleurent, aériennes. C'est doux, sensuel, attendu. Enfin leurs langues se trouvent. C'est une danse souple, comprise des deux côtés. Un mouvement naturel, comme si leurs vies avaient été faites uniquement pour cet instant. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel n'atteint ce qu'il y'a de plus intime en l'autre. Il en perd l’équilibre d’émotion, elle a le dessus sur lui, sur son corps. Son cœur saute tellement fort dans sa poitrine, son esprit est troublé comme s’il venait d’avaler 1metre de shooter, c’est trop dangereux. Il respire bruyamment, il a perdu l’habitude que son myocarde s’emballe autant pour un simple baiser, il n’a plus quinze ans et pourtant son corps réagit de la telle sorte.  C’est donc ça de gouter à l’interdit…de gouter aux lèvres d’Olivia. Elle est cette étincelle qui a touché son esprit, cet éclair qui illumine sa vie. Elle est la légèreté que sa vie attendait. Et maintenant il ne doit pas la fuir, la chasser, il finit toujours par tout détruire.

Il lui sourit et ses prunelles si d’habituel si sombre son teintée d’une lueur bien plus claire.  « Tes désirs sont des ordres. » joueur un jour, joueur toujours. Il n'a qu'un casque, partie dans la hâte il n'avait pas pensé a prendre un second, il le lui tend sa conviction qu’elle puisse rentré toute sa chevelure dedans. Ses iris dévorent les sienne, l’envie de l’embrasser lui prend mais il se retient, n’allons pas brouiller plus son esprit. Il l’aide a ajusté l’attache sous son menton, lui Ilf era sans il a pas besoin, c'est elle qui doit être protégée. « Tu es prête ? » appréhendant le fait qu’elle soit assez sobre pour tenir sur la moto. Il s’assure qu’elle soit bien stable, posant sa main sur sa cuisse, il en profite, joue encore un peu avec même si cela lui procure aussi de fore palpitation. « Accroche-toi à moi. »  Il l’invite à se serrer contre lui, par sécurité. Le moteur de la moto ronronne dans les rues calme de Barcelone, il roule doucement par crainte qu’elle ne le lâche. Habituellement il aurait fait hurler le moteur, a une heure aussi avancée il se fait plaisir en faisant vibrer le moteur de sa cylindrée. Mais avec la rousse alcoolisée derrière, il est plus prudent. Il l’est toujours surtout avec elle. Lui ça lui permet de faire le vide de son esprit, de calmer son cœur. Car même s’il fait mine de rien, ce baiser a bien briser des barrières. Il n’y plus possibilité de faire machine en arrière, lui n’a aucune excuse. C’est elle qui a voulu jouer, elle croyait quoi qu’il allait ne rien faire, c’est mal le connaitre. Il a peut-être profité de la situation, mais ce n’est pas lui qui a commencé ce baiser. Il aurait pu mais il lui a laisser la chance de faire un pas arrière, qu’ils ne franchissent pas cette limite. Peu de temps de trajet les séparent de la plage, il arrête la moto s’étant gare au plus proche de l’étendu de sable, les lampadaires éclairaient faiblement la plage, l’horizon était aussi sombre que son âme. Le bruit des vagues chante. Une douce mélodie. C’est plus agréable d’y aller à cette heure qu’en pleine journée, Alvaro n’apprécie guère l’amas de foule. Son regard se perd au loin, qu’est-ce qu’il est en train de faire au juste, il joue à quoi avec elle ? il sait qu’elle est le genre de fille à vouloir du sérieux, elle l’a elle-même dit, mais il ne se pense pas capable de lui offrir 1/3 de ce qu’elle mérite, de ce qu’elle veut. Ce n’était qu’un baiser après tout, il ne s’engageait à rien mais peut-être pour elle c’était bien plus. Au diable la raison, il est trop tard pour ça. après l'avoir laissé descendre, il la suit et l'aide a retire son casque car elle semblait bien avoir du mal a coordonné ses gestes, touchant de ses mains le visage de la belle, petit décharge électrique le long de son échine. « Toujours envie de te baigner ? » dit-il en posant le casque sur le seine de la moto, d Il la regarde amuser savoir si son courage l’a abandonné. Frileux comme il est, il ne la suivra pas cela en est une certitude. Il grimace légèrement pour montrer que son corps n’est pas prêt a subir un bain de minuit aussi tôt dans l’année au moins il sera là pour la réchauffer à sa sortie. Ses doigts taquinent la paume de sa main pour la tirer et l’inviter à marcher. Ses doigts ne restent qu’un fragment de secondes, lui donnait peut-être le faux espoir qui lui la tienne. Non Alvaro n’est pas ce genre ce mec mielleux, si elle veut ce genre-là qu’elle lise des bouquins ou qu’elle en choisisse un autre.



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FT. ALVARO
C’était un mensonge de croire qu’elle n’aurait pas voulu qu’Alvaro lui dise quelques belles phrases, quelques belles paroles qui lui aurait sans doute renforcer sa confiance, comme tout à l’heure lorsqu’elle dansait. Oui se sentir, belle, désirable, c’est exactement ce dont elle avait besoin, toute timide qu’elle était. Bien sûr qu’elle aurait voulu qu’il lui dise que oui, il l’a trouvé bien plus attirante que beaucoup de filles, qu’il ne voulait qu’elle ce soir. Quelque part bien sûr elle attendait ça, puisqu’il avait été si différent pour elle dans le passé et pendant si longtemps que bien sûr. Mais elle le savait c’était un charmeur, et sans doute qu’il changerait de cible aussitôt après l’avoir attrapé, mais elle aurait tellement voulu que non. Elle avait tant à lui offrir, il suffisait de la connaître pour le savoir, et Alvaro était sans doute le garçon qui la connaissait mieux. Cependant il lui promettait que ses désirs étaient des ordres, il ne savait pas ce qu’il restait, peut être pensait-il être le danger ? Peut être que c’était elle le danger, ce soir c’est elle la tentatrice, ce soir c’est elle qui lui propose beaucoup de choses et qui l’aguiche. Le danger n’est peut être pas où il le pense. Elle ne peut s’empêcher de lui glisser, une fois montée sur la moto : « C’est toi que je désire ce soir ». Il n’avait pas de casque, il avait donc très bien entendu. Pour la première fois elle assumait son désir, un désir qu’elle n’avait jamais connu auparavant et sans doute que leur baiser n’était que le début. Sur sa moto, elle se sentait libre, elle se sentait puissante. Elle était bien. Le vent foutait tout son corps, elle soutenait fort Alvaro comme si elle ne voulait jamais relâcher son étreinte. Il était tellement bien foutu qu’elle pouvait même pas faire semblant, le toucher était devenu un plaisir, presque, une excitation. Elle ne savait pas comment allait terminer cette soirée mais une chose était certaine, plus le temps passé, plus elle savait qu’elle n’avait plus de limite. La timide Olivia était hors de tout contrôle. Après cette ballade, qui ne lui avait donné qu’un sentiment supplémentaire de puissance et de liberté, Alvaro l’aida à enlever son casque. Il avait beau faire le gros dur, il avait beau se dévaloriser, elle le savait : ce mec pouvait faire du bien, il pouvait devenir meilleur. Elle ne put s’empêcher de le taquiner : « Tu ferais tout pour me toucher toi ce soir hein ? ». Il ne lui pris pas tout à fait la main, mais ce n’était pas grave car Olivia avait un autre objectif, un objectif qu’elle avait déjà trouvé : se baigner. Sentir l’eau froide sur elle lui ferait sans doute du bien puisqu’elle était entrain de bouillir depuis leur baiser. Ils avaient peut être attendus trop longtemps avant de s’embrasser, maintenant elle était en feu. Elle commença par retirer sa robe avant de dire à Alvaro : « Tu crois qu’on a fait ce chemin et que je t’ai fait venir ici pour rien ». Désormais, elle était en sous vêtement devant lui, danger. Oui, elle initiait le danger avec ses jeux étranges et sa manière de se déshabiller comme ça. Ses sous-vêtements en dentelle laissait penser que malgré son côté première de la classe, elle avait sans doute un côté plus sexy à explorer. En tout cas une chose est sûre, il ne l’avait jamais vu dans une telle tenue. Que pensait-il d’elle, elle était trop occupé à vouloir plonger dans l’eau pour le savoir, s’avançant sans aucune prudence vers l’eau salée de la mer elle finit par lui demander : « Tu vas rester sur le bord à me regarder ou tu vas t’approcher un peu ? ». Elle finit par rire avant de se mettre complètement dans l’eau, celle-ci était vraiment fraîche. Mais elle se sentait capable de tout ce soir, cependant elle n’y resta pas longtemps. Les bras d’Alvaro était plus chaud, elle avait envie de tendresse, de câlin. Envie de le retrouver, de retrouver ses lèvres. Elle ne put s’empêcher de courir de nouveau vers lui, il était d’une beauté à couper le souffle : « Tu es vraiment très beau Alvaro, tu as de la chance d’être si beau ». C’était peut être des paroles enfantines mais nul doute que ça flatterait son égo. Elle ne pu s’empêcher de l’enlacer, cherchant à la fois réconfort et tendresse. Elle ne voulait que lui, n’avait toujours désiré que ce seul et unique garçon dans sa vie. Oui, il y en avait eu d’autre mais si elle s’était mise avec Alvaro quand elle avait eu 17 ans, jamais elle n’en aurait regardé d’autre. Être dans ses bras était si agréable, le contact de sa peau nu contre la sienne lui donnait des frissons supplémentaires. Elle fit le premier pas, oui, elle avait envie de l’embrasser encore et encore. Elle était plus petite que lui mais comme ils s’enlaçaient c’était plus facile, sa tête était presque accessible. Elle se mit sur la pointe des pieds avant de capturer ses lèvres. Le goût salé se mêlait à celui d’Alvaro. Elle était subjugué par lui et par cet instant, romantique peut être, mais vrai. Après quelques secondes, elle lui murmura : « La dernière fois tu m’as dit que personne ne devait éteindre ma lumière, tu te rappelles. Que je ne devais plus être triste, même à cause de toi. Mais ce soir, je me sens si bien. Rallumes-moi Alvaro, seul toi peut le faire. Rallumes-moi et réchauffes-moi ». Des confessions qui voulait tout dire, plus de doute, elle s’était ouverte à lui, plus que jamais. Elle passa délicatement la main sous son t-shirt, allait-il être d’accord ? C’était lui et elle cette nuit, et peut être d’autres.

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Il y a des liens impossibles à expliquer, c’est comme si les deux âmes était destinées. C’est bien connu, l’inaccessible attire, Olivia a toujours été ce fruit défendu. La fille de celle qui l’avait accueilli comme une mère, qui lui a offert la chaleur d’un foyer. Alvaro ne sait pas bien aimer, son cœur est fourbe, fou, blessé. Olivia, elle, est si pure. Il l’a déjà fait tant souffrir, elle devrait savoir qu’elle ne doit pas jouer avec lui de cette façon elle va perdre, se briser contre cette carapace, cette armure. Bien qu’il la dévore avec passion, ce soir elle est sa reine, mais que sera t’elles les prochains jours. Il ne peut pas encore lui donner ce qu’elle veut, il connaît ce regard, il sait maintenant ce qu’elle ressent. Lui s’est plus compliqué, ce n’est pas si simple d’être dans sa tête, il se perd lui-même. Ce n’est pas l’amour qui lui peur, c’est l’abandon. Il l’a fait sentir spécial ce soir, elle l’est vraiment, profondément. Elle l’a bouleversé, suffisamment pour qu’il change ? Seul le temps répondra à cette question. Lui il n’y pense pas, il ne voit qu’elle et sa beauté fulgurante. Son cœur manque d’exploser en la voyant se dénuder, il reste figé comme un crétin, tandis qu’elle apparaissait dans ses sous-vêtements en dentelles. Si ça avait être une fille, il aurait déjà dévoré son corps de baiser. Mais c’est Olivia, sa douce et sa belle rousse, il se contrôle et ne voient que lorsqu’elle l’invite. Qui l’eut cru qu’il pouvait se montrer aussi doux et patient. Et il avait les pupilles dilatés comme s’il avait pris de la drogue mais sa seule addiction ce soir c’était elle, c’est sa voix ses mains ses yeux, son corps, ces gestes, ces réactions, merveilleuses. « Tu sais que je suis frileux. » Lui dit-il en riant, puis il avait bien une meilleure place au spectacle qui se présentait sous ses yeux en restant là où il était, il essaye d’éteindre ce feu qui palpite en lui, il doit encore garder la raison mais elle lui rend la tâche impossible. Aujourd’hui elle ne regrette rien, mais que sera-t-il de demain ? Il sourit à ses compléments, petite décharge électrique dans son cœur, il l’enlace avec douceur, pour la réchauffer, ses yeux pétillent, enfantine. Tant pis s’il finira tremper. « T’es glacée. »  dit-il en frottant ses mains sur sa peau nue, insaisissable cette image d’elle. Il la serrait un peu plus fort, caressant la douce peau de dos. Olivia le regarde avec malice et pressa doucement ses lèvres contre les siennes. Elle avait un goût de l’été et de quelque chose d’interdit. « Tu es sublime. » Il prit son visage en coupe entre ses mains, et l’embrasait à en perdre l’équilibre ou peut-être l’esprit. Il mordille sa lèvre, serrait fort sa nuque sous ses doigts. Tout son corps picotait, il avait la tête sans dessous dessus. Sa main glisse le long de son échine, s’arrêtant au bas de ses reins. Un reste de morale frivole lui empêchait de venir lui caresser les fesses. Elle était ivre et lui pas,. Savourant  son essence, ses lèvres dérivent jusqu’à son cou, ou sa vienne vulgaire palpitait de désir. Leurs nez se frôlaient, tandis que leurs souffles inégaux se mêlaient. « Livia. » Ses iris enflammés la dévorent, il a envie de plus, bien plus. Il n’est pas un bon samaritain, face à tant de tentation il ne peut qu’y céder. pourtant sa main se pose sur la sienne, l’empêchant d’aller plus loin « Pas ici. » Un endroit public pas très bonne idée, Alvaro voudrait bien lui donner la raison mais cela casserait l’ambiance, attiserait sa jalousie. Contrairement à elle, il a de l’expérience et a connu bien des bras dans lequel prendre plaisir. « On peut nous voir. » Il mordille le lobe de son oreille avant de s’écarter d’elle. Reprendre ses esprits, c’est la première chose qu’il doit faire. Il calme sa folle ardeur en ramassant ses vêtements, ignorant si elle allait obtempérer. Si elle insiste, il ne serait lui résister, cela lui a demandé bien des efforts de ne pas continuer. Il se redresse tout en commençant à parler pour lui tendre sa robe. « Tu devrais te rha.. » sa voix reste coincé dans sa gorge, subjugué, Ciel, le regard qu’elle lui lance, elle a moitié nue, renversante, sa chevelure de feu dégringolait sur ses épaules nues. Il voulait tellement se montrer gentleman, mais là…puis m****. Il lâche la robe qu’il avait en main, et revient à s’emparer fougueusement de ses lèvres, il se presse contre son corps. Plus guère de tendresse ; c’était un baiser fiévreux, il a eu moins l’audace de lui résister deux minutes. Il la laisse enlever son t-shirt, instantanément il eut des frissons bien que son corps fût brûlant de désir. Il avait tellement envie d’elle, un désir brut et latent. « Tu me rends fou. » Dit-il entre deux baisers, ses mains s’affairaient, caressaient son corps si dénudé. Il la senti frémir sous ses doigts ce qui lui fait perdre haleine. Son sang afflua sous sa peau, la chaleur irradie dans son ventre, incapable de se contrôler.. Sa main s’arrête à l’agrafe de son soutien-gorge, attendant qu’elle accepte cette étape de leur intimité.

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FT. ALVARO
Ses mots, ses mains sur sa peau, tout la rassure. Elle pourrait rester là pendant des heures, avec lui toute une vie. Elle n’a jamais douté de ça, de leur possibilité de se sauver. Lui par ses mots qui l’aide à sentir belle, désirable, elle par ses sourires, son regard rempli de bienveillance qui à chaque instant lui indique qu’il est bien meilleur qu’il ne le pense. Encore une fois il lui dit qu’elle est belle et, sans doute qu’elle ne l’aurait pas cru mais la façon dont il la regardait juste maintenant, lui faisait penser le contraire...Il la regardait comme une merveille, avec pureté, avec désir. Elle avait l’impression qu’il disait vrai. Elle souriait avant de lui répondre : « A force de me le dire, j’ai l’impression de me voir jolie dans ses yeux, je n’ai jamais eu cette impression, merci Alvaro ». Elle ne peut s’empêcher de l’embrasser encore et encore, soulever son t-shirt, oui, pour le voir, le sentir. Et Alvaro l’en empêche, elle a du mal à comprendre la raison ? Il a peur de la police ? Lui qui est pourtant connu pour plonger dans des affaires pas toujours net. Il veut l’empêcher d’aller plus loin, mais Olivia n’a pas peur, elle n’a d’excuse. Voyant un arbre et quelques rochers un peu plus loin d’eux elle se dit que c’est l’endroit idéal pour être à l’abri des regards. Même si l’arbre en question est un simple palmier qui ne cache pas grand-chose, mais il fait noir, on ne voit pas comme en plein jour alors peut être qu’il s’agit d’une cachette idéale. « Viens là alors, il y a un arbre, on peut se cacher... ». Elle se met à rire, innocente et pourtant tellement tentatrice. Le feu n’est pas que dans ses cheveux, ni dans les yeux, non, le désir lui brûle, le ventre, le coeur partout.  Elle est d’une sensualité et d’une chaleur, sans même s’en rendre compte. Oui elle est vierge et qui le saurait ? Qui pourrait le savoir ? Il n’y a pas écrit « je suis vierge, attention » sur son front, elle ne veut pas gâcher le moment. Elle le sait bien, si elle lui dit il va dire qu’il ne faut pas le faire maintenant, il va trouver une raison de différer la chose car il a bien faillit en lui tendant sa robe, en lui disant qu’on pourrait les voir mais Olivia a fait comme si elle n’entendait rien, comme si elle ne voyait rien, préférant rejoindre un palmier et faire comme si rien ne c’était passé. Alvaro finit par la rejoindre, cédant finalement à la tentation, à tout ce qu’elle avait tenté depuis le départ. Depuis le début de cette soirée elle voulait en venir là : lui faire comprendre qu’elle avait du désir pour lui, qu’elle en avait toujours eu et qu’elle voulait le concrétiser. Ce soir elle serait à lui, il serait à elle, pas d’alternative. Il revient prendre possession de ses lèvres, prendre possession d’elle, elle sent son désir. Un désir pressant et pour la première fois elle l’accepte, elle ne le trouve pas trop collant comme les autres garçons qu’elle avait déjà côtoyés, elle avait déjà fait du sexe oral mais rien de plus. Parce qu’il n’était pas comme lui, il n’était pas lui. Son désir a elle n’avait pas été aussi accru, les garçons en face d’elle, maladroits. Il la rend fou, elle frissonne en découvrant son corps. Un corps musclé, tellement musclé. C’était un mannequin ou quoi ? Elle n’imaginait pas Alvaro aussi bien gaulé et pourtant elle l’avait imaginé bien des fois. Que dire d’elle ? Elle est submergé par ce qu’elle voit : « Waouh...tu es...Tu as un corps de rêve Al’ ». Un corps de rêve, rien que pour elle cette nuit. Elle l’embrasse encore plus langoureusement, encore plus passionnément, ses lèvres parcours tout son corps, son cou, viennent le mordiller pour lui faire un suçon, montrer qu’elle est passée par là, elle veut prendre ses marques, ce soir il devient son territoire. « Deviens fou, accro, et je  reverrais ce corps qui me fait rêver ». Elle aussi presse son corps, un peu partout, la chaleur est dingue entre eux. Passions, folies, désir. Tant de chose se mêle. Amour aussi, de son côté du moins, haine et amour sans doute. « Je suis toute à toi Al’ ». Lui murmura t-elle voyant qu’il attendait son accord pour retirer son soutien-gorge, il est si prévenant, si parfait. Elle ne pouvait rêver mieux pour faire sa première fois même si une parole rassurante l’aiderait sans doute avant de passer à l’acte. Elle découvre alors sa poitrine à Al, une poitrine de taille moyenne, qu’on pourrait qualifier d’une forme parfaite. Elle enlève aussi son dernier sous vêtement. Elle est à lui maintenant, elle lui a dit. Nue devant lui, derrière cette arbre elle a l’impression d’être abrité de tout sauf de lui et ça ne la dérange pas. Elle lui donne tout ce soir, surtout sa première fois. Elle se presse contre son corps, leurs deux corps nus l’un contre l’autre. Elle frisonne, elle est tellement excitée, elle ne l’a jamais été à ce point là. Il est l’homme qu’elle veut depuis des années, qu’elle désire si profondément. Elle parcours de ses mains, chaque endroit de son corps, de sa peau. Il est magnifique, merveilleux. Combien de fois elle a imaginé à l’époque, entrer dans sa chambre et faire le genre de chose qu’ils sont entrain de faire, là maintenant. Elle danse contre lui, l’appuyant légèrement sur le palmier derrière eux, cette danse des plus sensuelles l’invite à baisser légèrement le pantalon d’Alvaro afin de sentir à quel point il était excité, cette danse était la plus chaude qu’il n’avait jamais connu. Elle glissa alors sa main jusque dans son caleçon ; à la découverte d’une intimité qu’elle ne connaissait pas et qui semblait bien plus satisfaisante que toute celle qu’elle avait connu avant, le désir qu’il avait pour elle maintenant il ne pouvait plus le cacher, il était là bien visible, elle lui murmura alors : « Je vois que tu as autant envie de faire l’amour que moi... ». Faire l’amour, une expression peut être un peu romantique, mais elle a beau ne pas être prude, elle reste une jeune vierge. Elle commença alors des caresses intimes, douce ou lente, attentive à ce que préférait Alvaro tout en continuant de l’embrasser avec passion, des baisers plus sauvages, plus brutaux, plus fous que les précédents. Il semblait apprécier ce contact, elle fit durer le moment quelques temps avant d’embrasser chaque endroit de son torse, il était vraiment magnifique. Elle avait envie de dévorer son corps, jouant de sa bouche d’abord avec ses tétons et ses tablettes de chocolats, elle finit par se mettre à genoux devant lui. Elle voulait lui donner la caresse la plus intime et la plus agréable qu’un homme puisse connaître. Elle le dévora du regard avant de doucement entourer son intimité de sa bouche et commençait des mouvements tantôt lents et rapides pour faire monter le plaisir du beau brun.

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