Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

Aller en bas
Soledad Z.Ortiz
Soledad Z.Ortiz
Je viens tout juste d'avoir : 24 Mon quartier, c'est : Gracia y Poble nou.
Et pour essayer de gagner ma vie, je fais : Fleuriste au LadyFlor.
Messages : 945
Date d'inscription : 04/03/2022
https://hola-barcelona.forumactif.com/t275-sol-o-it-s-a-person-t

Soledad Zuri Ortiz


23 ans

Sol

8 Mai 1999

Barcelona, España

Espagnole

Célibataire

Cha-Cha-Cha

Gracie Abrams

Fleuriste en formation.



Traits de caractèreAmbitieuse | Authentique | Bienveillante | Combative | Consciencieuse | Courageuse | Curieuse | Créative | Déterminée | Discrète | Humaine | Minutieuse | Optimiste | Sensible | Anxieuse | Confuse | Distraite | Manque secrètement d'estime de soi | Légèrement méfiante grandement Naïve | Têtue.

You don't know everything about myself, me.


Peut-on pardonner un jour quelqu'un qui a causé du tord? Inlassablement oui, secrètement non.  Dans le pardon, il y a ses douces images d'une enfant, celle au large sourire qui court à toutes jambes autour d'un cerisier et qui finit cachée derrière le tronc imposant de l'arbre fruitié après avoir fait craquer quelques feuilles mortes sur son passage. Les belles feuilles orangées, prémices de l'Automne. Petit nez mutin, quelques taches de rousseurs sur le visage et des yeux ronds comme deux billes, son coeur tambourine à l'intérieur, saisit par l'excitation d'une énième partie de cache-cache qu'elle est persuadée de remporter,quoi qu'il arrive.. Les aboutissants de cette journée, elle les connaît, plus encore que ses leçons d'histoire mais elle reste la plus silencieuse possible, histoire de jouer le jeu quelques minutes de plus. Elle attend, impatiente d'entendre d'autres craquements de feuilles, et cette voix d'homme qui lui ravit le coeur. Celle d'un père aimant, le meilleur de tout les pères. Celui qui finit par la trouver après avoir fait mine d'avoir chercher. Il sait que c'est sa cachette préférée. Elle contient ses plus beaux souvenirs de jeunesse, elle a retenue ses pleurs quand le monde semblait s'acharner sur elle, elle était la pour elle quand elle sentait ce besoin d'isolement. Cet arbre l'a vu grandir, cette arbre la protégée des chaudes journées d'été Espagnole et des bourrasques printanières. Cet arbre était leur lieu de rendez-vous à tout les deux. A cette petite fille et à son père. Il l'attrapait bien souvent par le dessous des bras pour la faire virevolter dans les airs, pour l'aider à toucher quelques feuilles à sa hauteur et ça la faisait rire. Tellement. Il n'y avait pas plus belle complicité entre deux êtres que la leur. Celle d'un père et de sa fille. Et.. il parvenait tellement à la combler, à la faire rêver. Préserver son enfance et son innocence était capital pour lui, quand la mère de famille, elle,  se contentait de remettre les pieds sur terre à tous. La réalité était douloureuse et injuste, mais peut-on lui en vouloir de remettre les pendules à l'heure en rappelant les obligations de chacun au sein du foyer? Celles de cette petite fille étant simplement de mettre la table et la débarasser, ranger sa chambre et faire son lit, être une bonne petite écolière et faire la fierté de ses parents. A première vue, rien de compliqué. Les journées se terminaient toujours de la même façon. Un passage dans la salle de bain, un brossage de dent et une mise au lit. Des baisers qui pleuvent sur le visage de la petite fille, les doux de maman, et ceux de papa, accompagnés généralement par une série de chatouilles qui se terminent en rires. Une belle vie en apparence. Celle qu'ont a voulu faire croire à la petite fille. Mais elle n'est pas dûpe, cette petite fille. Elle sait qu'un jour, tout finira par basculer, le plus tard serait le mieux. Qu'elle puisse encore rêver des années entières sans se soucier de l'avenir.

Moi c'est Soledad, je préfère qu'ont m'appelle Sol, en hommage à celui qui n'a jamais vu un seul nuage gris dans sa vie. Celui qui jusqu'au bout aura sourit. Jusqu'au bout. Mon père il.. il méritait pas ça. Il était la bonté même, la joie, la gaieté, l'amour. Il ne s'est jamais plaint de rien dans sa vie. Il en a profité autant qu'il le pouvait, sans jamais laisser une seule seconde les ténèbres l'envahir. C'était un homme remarquable. Un super héros. Il a passé son temps à réaliser mes rêves les plus fous, celui de créer une cabane dans cet arbre était l'un de mes rêves les plus fous. Le lendemain, il était déjà au pied, à mesurer pour rendre l'impossible possible. Un projet qu'il avait finit par abandonner malgré lui. Elle l'a rattrapée avant qu'il ait le temps de faire quoi que ce soit. Certains l'appelle "Le Cancer", pour moi c'est juste La saloperie qui a emporté l'homme que j'aimais le plus au monde. Je croyais que j'étais prête à endurer cette souffrance, mais ont est jamais véritablement préparer à ce genre de choses jusqu'à ce qu'on le vit. J'avais 12 ans. J'ai vu des mains se poser sur mon épaule que je ne connaissais même pas, les gens qui ont pitié pour faire bonne figure mais qui en réalité ne se soucie que très rarement de toi. J'ai vu ma mère totalement brisée, s'effondrer sur le sol sans que je ne sois capable de l'aider à se relever. Impuissante, tétanisée, morte de l'intérieur. Mon coeur s'est arrêté de battre dès qu'il a poussé son dernier souffle. J'ai crié quand ils ont commencés à le mettre sous terre, parce que c'était pas sa place. C'était pas sa putain de place. Il devait être la, à mes côtés, à me tenir la main et à sourire comme il avait l'habitude de le faire, à me raconter des histoires qui me ferait rêver jusqu'au petit matin. Il devait être la à me rassurer sur l'avenir et sur le fait qu'il veillerait sur moi quoi qu'il advienne. Il devait être la pour me dire que tout ira bien et qu'il nous aimait maman et moi. J'ai continué de crier, aussi fort que possible. Des cris de douleur, des cris de terreur, les jambes qui flanchent et le corps qui lâche, les mains sur les graviers à m'en écorcher la peau mais je m'en foutais, parce que c'était la dernière fois que je pouvais lui dire au revoir avant qu'il ne disparaisse, définitivement. La main sur le coeur, à deux doigts de le flinguer, de vouloir me l'arracher pour qu'il arrête de me faire sentir toutes ses choses. Intenable, insupportable, brisé mais vivant, à battre malgré lui. J'ai rampé jusqu'à elle pour lui attraper la main, elle était aussi froide que la peau de papa quand son coeur à lui s'est arrêté de battre. Maman. Ca va aller. J'étais même pas sûre de ce que je disais. J'étais juste une gamine perdue qui s'accrochait à la seule chose qui lui restait dans ce monde. Sa mère.  Un bras sous le sien, la tête contre la sienne, et des larmes qui ne s'arrêtent plus. Deux corps secoués de spasmes qui assistaient à la même scène. Perdre un être cher est certainement la chose la plus terrible qui puisse arriver, du moins, c'est ce que je pensais, au départ.

La vie a continuée. Les rires et la bonne humeur avait laissé sa place à la dépression. Des mois entiers pour ma mère quand de mon côté, je faisais mon maximum pour ne rater aucun jour d'école. Les rendre fiers, j'ai toujours tout fait pour ça et j'ai continué malgré ses nuits d'insomnies, malgré les pleurs qui ne s'arrêtent pas. La douleur toujours plus intense au fil des jours, d'avantage quand les souvenirs surgissent et te rappelles à quel point tu avais pûs être heureuse à l'époque. Est-ce que j'étais heureuse à ce moment la? Non. Est-ce que j'avais besoin d'aide? Certainement. J'étais pas la seule à avoir besoin d'aide. Elle aussi, mais elle n'a jamais fait que de regarder par la fenêtre les gens qui passaient par la, avec son regard vitreux. Parfois elle se levait de sa chaise pour aller camoufler les cadavres de bouteilles qu'elle sifflait dans l'espoir que je ne m'en aperçoit pas. J'étais pas stupide. Jeune mais pas stupide et je savais pertinemment qu'elle était en train de sombrer, elle aussi.  Devoir vivre à ses propres crochets à douze ans n'est pas une chose facile. Mais je me taisais, parce que quelque part, moi non plus j'arrivais pas à guérir de la mort de papa. Qui était-je pour lui faire la morale sur quelque chose que moi même je ne maîtrisais pas ? Qui était-je pour m'arracher la voix contre elle, à vouloir la secouer pour qu'elle retrouve espoir en la vie et en l'avenir ? Personne. Je n'étais plus personne pour elle. L'ombre d'une petite fille qui passe par la de temps à autre après une journée d'école, celle qui s'enferme dans sa chambre pour pleurer, celle qui va faire de la balançoire près du cerisier dans l'espoir toujours de s'élancer encore plus haut pour rejoindre le ciel et le retrouver lui. L'ombre, celle qui a survécue des années de plus, à sourire finalement quand un beau jour j'ai vu cette chaise vide. Elle était partie, et j'avais espoir qu'elle soit partie de la maison pour se battre elle aussi mais c'était pas le cas. Elle a commencé à fréquenter un homme, des hommes. Un nouveau quasiment toutes les semaines. Elle rentrait la plupart du temps bourrée et nôtre havre de paix, nôtre si belle maison, celle que papa avait mit tant de mal à retaper commençait à tomber en ruine.  Des bouteilles vides, des cendres et mégots sur le sol, de la poussière partout. La maison des horreurs. Elle a détruit mon enfance en un claquement de doigt, un jour ou l'une de ses fréquentations avait levé la main sur moi pour la faire aussitôt retombée sur mon visage. Elle a rien dit, elle a rien fait. Je me souviendrais toujours de son regard, vide d'expression quand mes yeux à moi pleuraient cette fois ma mère disparue. Celle que j'aimais, celle qui m'aimait, ou du moins, je le croyais. Ma main sur ma joue battue, à la supplier du regard de faire disparaître son connard de petit ami. Elle l'a pas fait, je suis partie.

Je suis restée quelques semaines loin du domicile familial, hébergée chez une amie. J'ai refusé malgré moi de prendre de ses nouvelles ou de passer à la maison pour voir comment elle se sentait et les remords ont vite prit le dessus. J'avais déjà perdu un parent, une partie de moi refusait d'en perdre un second. Alors, un jour, à l'aube de mes 15 ans, je suis rentrée, avec mon sac à dos comme ci je rentrais de l'école. A peine devant la porte que je l'ai entendu parler.  La curiosité a prit le dessus et j'ai juste tendu l'oreille en restant la plus discrète possible.  Jamais de ma vie entière je n'oublierais cette discussion que j'ai surprise ce jour la. Je n'en ais saisis que des brides, mais dans ma tête une image à commencé à germer. Celle d'un garçon, au visage flou tout comme son apparence bien que j'en distingues des traits similaires aux miens. Un frère. Caché. Mon coeur implose. Depuis quand? Comment ? Ou ? Qui ? Ses questions ont grillées un par un mes neurones. La main sur le coeur, la bouche entre ouverte, je recule de plusieurs pas, percute la première marche de l'escalier qui émet un bruit et qui éveille l'attention de ma mère. Sol ? C'est toi chérie? La panique. Je grimpe deux par deux les marches pour me faufiler jusqu'à ma chambre à coucher, respiration haletante. Je n'ais pas le temps de réfléchir, mon sac se retrouve balancé sur le sol et j'attends, parce que je sais qu'elle va me revenir maintenant qu'elle m'a entendue et j'ai espéré de tout mon être qu'elle ne pose pas la question à laquelle je refuse en mon âme et conscience de répondre. Est-ce que tu m'as entendue? Est-ce que ça va? Tu es sûre? Non ça ne va pas. Est-ce que je t'ais entendue? Oui. J'ai tout entendu... Je me suis contenté de lui sourire comme une belle abrutie quand elle a finit par ouvrir la porte de ma chambre. Elle avait toujours ce teint blafard mais semblait plus lucide que la dernière fois ou je l'ais quittée. Toujours ses cernes dégueulasses sous les yeux mais elle souriait elle aussi cette fois. Elle est venue jusqu'à moi pour me serrer contre elle, et s'est mise à pleurer. Encore. Sa voix tremblante a finit par m'avouer qu'elle était contente de me revoir et qu'elle avait mit fin à sa relation avec l'autre tocard. Ma fugue, un déclic? Je sais pas trop. Est-ce que je peux la croire ? J'en sais rien non plus. Surtout après qu'elle m'ait caché "ça".

Peut-on pardonner un jour quelqu'un qui a causé du tord? Je l'ignore mais, j'ai finis par lui pardonner quand elle a commencé à se battre pour l'avenir et que nôtre maison a retrouvée une certaine lumière. Celle qui avait disparue quand papa l'avait éteinte derrière son passage. Celle qui a mit du temps à se rallumer mais qui a finit par le faire, doucement mais sûrement. Je n'ais pas osé parler de "lui" à ma mère parce qu'elle est encore trop fragile, même à l'heure actuelle pour que je le fasses. Plus de dix années après, elle a réussi à renaître grâce à un homme, bon cette fois. Un homme un peu plus âgé qu'elle, ravit de me considérer comme la fille qu'il n'a jamais eu. Je ne l'appellerais jamais Papa et il le sait, personne ne peut remplacer l'unique dans mon coeur. Leur amour me rassure quelque part, je sais qu'elle est entre de bonnes mains. Alors, j'ai plié bagages une fois mon premier boulot en poche. Je me suis installée en ville, pas très loin d'eux dans un petit appartement qui me suffit à moi même. Un coccon décoré par mes soins, précieux pour y déposer tout mes souvenirs photographiés et les nouveaux que je m'apprêtes à déposer à leurs côtés quand j'aurais mis la main sur la pièce manquante du puzzle de ma vie. Un frère. Je me suis mise à le rêver. Un envie de petite soeur d'avoir quelqu'un sur qui compter. Un confident, une épaule. Un frère. J'en rêve depuis toujours, encore plus depuis que j'ai appris son existence malgré moi. Celle qui est encore cachée à l'heure actuelle par ma mère. Ferme intention de mettre la main dessus de toutes les manières possibles, à me renseigner encore et toujours partout ou je le peux. Le mur de ma chambre devenu une exposition de post-it avec des adresses et des numéros, des photos qui finissent en boule dans la poubelle. Aucune similitude avec moi, aucun rapport, aucune ressemblance. Rien. Quand ce n'est pas à l'étude ou à la boutique, c'est sur la chaise de mon bureau qu'ont me trouve, à mordiller toujours le même crayon, les yeux plissés sur les pauvres informations que j'ai, à passer d'innombrables coup de téléphone en vain, à rayer des bouts de phrases et des enseignes inutiles à mes recherches.  Non. Les deux mains de chaque côtés de la tête, une grimace et des larmes qui grimpent aux yeux. Non. Je ne peux pas abandonner. Il est quelque part, il doit être quelque part. Dis moi ou t'es bon sang.. Rechercher ce frère s'avère plus chaotique que ce que j'aurais pensé. Il peut être partout, et nulle part. Dans un pays différent, loin, trop loin pour moi. Désespérée, mon corps finit par s'écrouler sur le matelas avec ce dernier post-it froissé dans la main, une boule qui se retrouve balancée au coin gauche de la pièce et qui attérit pile dans la poubelle avant que mon téléphone retentit.  L'amie. La meilleure.

T'as déjà entendu parler de Niño Menor? Sol, ce mec est trop bizarre. J'te jure, mais tu devrais écouter ça.. Ma main s'est mise à trembler dès que j'ai vu la miniature de la vidéo. Une partie de moi voulait croire qu'il était la, sous mes yeux. Mon frère. A plisser les yeux comme une idiote dans l'espoir d'apercevoir un bout de visage. Un nez, une bouche, des yeux, les mêmes que les miens. Le coeur qui tambourine comme durant ses parties de cache-cache, l'adrénaline quasi similaire sauf que c'était à moi de chercher cette fois après avoir compter ma vie entière pour ça.  Les rires de mon père ont laissés place à la voix de ce garçon et au texte qu'il récitait. Poignant, douloureux, fort et puissant pour ceux qui n'en saisissent qu'une partie. La deuxième partie cachée ou je pouvais clairement distingué ce frère égaré que j'ai toujours eu depuis toujours. Camouflé et à peine visible, mais une voix qui ravit mon coeur de soeur en quête de son grand frère.  Un sourire et un index qui se pose sur l'écran dans l'espoir de le toucher, persuadé que c'était lui, une larme qui s'écrase sur le tactile et qui fige ma vidéo. Mon frère. Comment puis-je me fier à une vidéo de quelques mois, années ? Ou est-il ce Niño Menor aujourd'hui? La? A l'antenne de cette radio connue par celle qui jusqu'à présent l'avait écouté sans jamais me tirer un seul mot de ce qu'elle y avait découvert jusqu'à maintenant?  J'ose croire que c'est ça. Qu'il est la, depuis le départ et que partir à sa rencontre serait facile, l'appeler encore plus. Mais que diable pourrais-je lui dire? Je suis ta soeur, celle que tu connais pas parce que ta mère t'as abandonné quand t'es né? Moi elle m'a gardé et j'ignore pourquoi elle l'a fait et j'aurais aimé qu'elle m'abandonne quelque part pour partager ta souffrance et te comprendre mieux que personne, parce que les soeurs sont faîtes pour ça, pour aider, pour supporter l'autre quand ça ne va pas. Et j'aimerais pouvoir te dire que maintenant je suis la, et que je suis pas prête à t'abandonner, que j'ai envie d'apprendre à te connaître parce que je t'ais tellement désiré au fond de moi. Je te voulais comme le grand frère que j'ai jamais eu, celui qui me manquait à ma vie quand ça n'allait pas, celui que j'aurais aimé avoir quand j'ai cru tout perdre. Celui qui aurait eu la force et le courage de secouer maman quand moi je me suis contenté de la fuir pendant des semaines et des mois. J'aurais aimé que tu sois la pour la gamine en perdition que j'étais, mais peut-être que toi aussi au final t'es un gamin en perdition. Peut-être qu'ont est juste tout les deux perdus et que le but de nôtre vie c'est de se compléter l'un l'autre. Je veux y croire. Je veux t'aimer, alors pitié, laisse moi une place dans ta vie. S'il te plait.





Story of my life, searching for the right



Pseudo : Bulma. Age : 3+1, ça marche à l'envers aussi.Ton arrivée ici : Je suis la depuis les débuts. Ton avis : Petit bébé de mon coeur. DC : T'as pas idée.. On commence par celle qui twerk en repensant à son amour de jeunesse, à celle qui va finir vieille fille, en passant par celui qui fait que courir après son ex pour la récupérer et on termine par une schyzo qui se parle à elle même. . (Ca va, je gère :D )  Inventé/scénario : Une partie inventée, l'autre plus grosse partie vient de lui  @Tomás H. Meléndez . D'un commun accord sur une histoire qui gère sa mère la fougère en string panthère.


Dernière édition par Soledad Z.Ortiz le Jeu 30 Mar - 21:05, édité 9 fois

_________________

Is someone in the crowd the only thing you really see? Watching while the world keeps spinning 'round? Somewhere there's a place where I find who I'm gonna be.A somewhere that's just waiting to be found.

Tomás H. Meléndez
Tomás H. Meléndez
Je viens tout juste d'avoir : 28 Mon quartier, c'est : Sants, avec les moyens du bord dans une colocation inattendue avec Noa, Daniel et désormais Adan depuis que nous occupons le même lit avec Noa
Et pour essayer de gagner ma vie, je fais : chroniqueur podcasteur sur les antennes d'une radio universitaire
Messages : 510
Date d'inscription : 27/03/2022
Coeuuuuur krkrkrkrkrkrkrkrkrkr
inlove3 **
Je stalllllllkeuuuuuuh croque inlove4
Soledad Z.Ortiz
Soledad Z.Ortiz
Je viens tout juste d'avoir : 24 Mon quartier, c'est : Gracia y Poble nou.
Et pour essayer de gagner ma vie, je fais : Fleuriste au LadyFlor.
Messages : 945
Date d'inscription : 04/03/2022
https://hola-barcelona.forumactif.com/t275-sol-o-it-s-a-person-t
Stalk mon petit. Stalk. bear2 pliz coeur2

_________________

Is someone in the crowd the only thing you really see? Watching while the world keeps spinning 'round? Somewhere there's a place where I find who I'm gonna be.A somewhere that's just waiting to be found.

Olivia Sorola
Olivia Sorola
Je viens tout juste d'avoir : 25 Mon quartier, c'est : Sants
Et pour essayer de gagner ma vie, je fais : Vendeuse de vinyl et étudiante
Messages : 408
Date d'inscription : 24/01/2022
Re bienvenue et bon courage avec ce nouveau personnage I love you Petite Sophie s'en va alors crying

_________________



ஃ   Dans chaque enfant il y a un artiste. Le problème est de savoir comment rester un artiste en grandissant.  ஃ
Soledad Z.Ortiz
Soledad Z.Ortiz
Je viens tout juste d'avoir : 24 Mon quartier, c'est : Gracia y Poble nou.
Et pour essayer de gagner ma vie, je fais : Fleuriste au LadyFlor.
Messages : 945
Date d'inscription : 04/03/2022
https://hola-barcelona.forumactif.com/t275-sol-o-it-s-a-person-t
Olivia Sorola a écrit:Re bienvenue et bon courage avec ce nouveau personnage I love you Petite Sophie s'en va alors crying

Merci. coeur2 petite Sof' avait du mal à se faire sa place mais elle restera toujours dans nos "boom boom". **

_________________

Is someone in the crowd the only thing you really see? Watching while the world keeps spinning 'round? Somewhere there's a place where I find who I'm gonna be.A somewhere that's just waiting to be found.

Tomás H. Meléndez
Tomás H. Meléndez
Je viens tout juste d'avoir : 28 Mon quartier, c'est : Sants, avec les moyens du bord dans une colocation inattendue avec Noa, Daniel et désormais Adan depuis que nous occupons le même lit avec Noa
Et pour essayer de gagner ma vie, je fais : chroniqueur podcasteur sur les antennes d'une radio universitaire
Messages : 510
Date d'inscription : 27/03/2022




Bravo ! Tu es validée




De la lumière, de la couleur dans la vie de Toto mais quelle joie qui va lui arriver d'un coup inattendu comme ça, à s'accrocher déjà à la seule qui le secoue fortement et qui va en plus avoir cette venue dans sa vie sans penser pour le moins du monde que c'est autre chose qu'une blague.
🟣🔵🟢🟣🔵🟢🟣🔵🟢🟣🔵🟢

Tu connais la maison, le blabla je te l'épargne. Cette histoire, focus CETTE histoire, après le "deux salles deux ambiances" nous voilà au "deux enfants deux ambiances" avec cette pétillance. Tu sais ce que j'en pense, ce choix judicieux du prénom, ces idées pour le background, cette réussite de qualité à tracer un parallèle pour que Sol' ait sa voie toute unique qui rend ce personnage magique en soi. Que de palpitations, de coeur qui se serre à découvrir et à être en peine de ne pas profiter davantage de ce père, et de suivre l'évolution d'une mère en difficulté... de l'oeil de Sol qui aura fort à espérer que Toto puisse accepter la réalité qui était celle de sa naissance. Une bien belle histoire en perspective qui va encore en remuer des âmes  **

:heart2:
Je t'aime toi.



Contenu sponsorisé
Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum