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Tomás H. Meléndez
Tomás H. Meléndez
Je viens tout juste d'avoir : 28 Mon quartier, c'est : Sants, avec les moyens du bord dans une colocation inattendue avec Noa, Daniel et désormais Adan depuis que nous occupons le même lit avec Noa
Et pour essayer de gagner ma vie, je fais : chroniqueur podcasteur sur les antennes d'une radio universitaire
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Date d'inscription : 27/03/2022
Tomás Meléndez
ft. Gijs Blom
Prénom(s) : Tomás Hugo Nom : Meléndez surnom : totoreco âge : 25 ans date et lieux de naissance : né le 22 février 1996 à Lérida, Catalogne Nationalité : espagnol Groupe : paso doble Métier : parolier, novelliste et curateur de sa condition seulement sans pouvoir ni avoir la prétention d'en faire son métier. Il ne vit que de très peu de choses ; même son activité de chroniqueur podcasteur sur une radio universitaire autour des thématiques sociales ne lui suffit que bien peu pour vivre.
Le vague à l'âme, la mélancolie en malformation à son coeur depuis sa naissance par ses premiers cris vite étouffés en sanglots.

Idéaliste rêveur qui a du mal à croire que ses pieds doivent rester sur terre pour continuer à la fouler alors que tout n'est que cendres et poussières là où ses pas le guident.

Désordonné, le bordel de son quotidien se lit dans la rigueur de ses cheveux ébouriffés et pour ceux qui ont pu voir comment il rangeait sa chambre sans aucun sens ni logique. Les choses ne sont en place nulle part qu’on y regarde de près où de loin cela a toujours été un véritable foutoir.

Le pessimisme marqué par une longue liste de déceptions qui ont accompagné sa vie jusqu'à lui manquer lorsqu'il arrive à se coucher sans ce goût d'amertume et de tristesse de cette nouvelle journée à avoir survécu dans ce monde. Facilement découragé à la première difficulté qui se dresse devant lui.

Pacifique, comme sa salade préférée, il s’éloignera toujours à chaque fois qu’il sentira un conflit prendre forme autour de lui. Qu’il soit auteur ou acteur de la situation, il cherchera toujours la fuite pour se préserver de devoir supporter le côté négatif de ces points de désaccords et de torture mentale supplémentaire.

Timide solitaire qui ne veut blesser ni juger personne car lui-même n'est personne pour venir enrayer la mécanique dans la vie des autres, alors il se contente de sa condition parmi l'humanité et se sent bien moins anxieux à l'idée de ne brusquer personne par sa présence inutile dans un décor de fond.

Discret et introverti aussi muet qu’une tombe dans les quelques échanges qu’il peut avoir avec les personnes qu’il lui arrive de côtoyer, même à l’antenne il ne donne jamais la parole d’une autre personne de sa propre bouche mais tourne les choses de manière anonyme ou préfère même laisser les gens s’exprimer au lieu de s’en faire le relai.
Mon histoire

Né sous X, trois ans avant que le Tribunal suprême espagnol ne décrète officiellement l’interdiction d’accoucher anonymement pour une mère sur le territoire espagnol, Tomás a hérité d’une identité attribuée par un officier de l’état civil qui lui a confié les prénoms de Tomás Hugo Sandoval. Le dernier des trois a fait mention de nom de famille dans les premières années de la vie du jeune catalan et n'a fini par disparaître qu'avec son adoption par la famille Meléndez lorsqu'il était âgé de cinq ans et demi. Ce qui s'apparentait au départ à un couple uni en manque de chance génétique pour procréer et avoir un enfant, tout trouvé en la personne de Tomás, puis à des parents modèles durant la jeune enfance du garçonnet, se disloque aux prémices de l'adolescence de cet enfant qui devient la cause du mal-être de leur mariage pour son père. Rappelé par ce dernier comme n'étant pas son fils biologique une fois en âge de débattre avec un adulte, Tomás fait face aux aléas de la vie et aux affres de la race humaine. Ce qui un jour fut un mariage heureux qui présageait d'innombrables beaux jours, finit par sombrer, réduit en pièces par l'attitude de cet homme qui passait de plus en plus de temps hors de la maison censée se vouloir familiale, un havre de paix où la joie s'installait au moment de rentrer dans ce foyer où rien ne manquait jusqu'à ce que l'image du père ne s'estompe progressivement. D'abord au fil des mois, puis de semaine en semaine, jusqu'à s'intensifier à intervalles de plus en plus réguliers qui se comptaient en jours. La tristesse prit la place de la gaieté d'un souvenir ensemble à rire à partir de rien, d'une anecdote, d'une maladresse où d'un moment entre un père et un fils. Sans aucun signe de séparation dans les liens du sang entre eux. Le désarroi le matin où son aveu claqua dans l'air d'un naturel offensé, à sa placer en victime, d'être infidèle depuis un long moment et d'entretenir une relation avec cette autre femme. Treize ans qu'il avait Tomás quand le véritable visage de ce père s'affichait blasé d'une situation qu'il avait engendré et pour laquelle il ne s'en sentait pourtant pas le coupable. La faute plutôt d'un gamin qui avait pris plus d'attention de la part de celle qui était sa femme, délaissé par cette dernière, à profiter de moindres moments, trop peu à son goût, et à regretter d'avoir validé l'adoption huit années plus tôt. La rupture était actée entre les Meléndez, le divorce signé dans l'année des quatorze ans de Tomás, et ce qui allait advenir de ce père adoptif ne serait jamais connu de l'adolescent qui continua avec seulement une mère pour traverser cette période de crise. Une tentative de suicide avortée, un fardeau de se croire la cause du déchirement d'un amour probant, presque le diable en personne d'avoir interféré avec le bonheur d'un homme avec sa femme, sa conscience ne se calmait guère ni ne se résonnait. Il voulait savoir qui était sa mère biologique, comprendre ses gênes, apprendre ce qui en lui provoquait ce genre d'événements à gâcher l'environnement autour de lui. Des épisodes à l'école n'aidèrent en rien, brimé par des camarades et laissé à son sort en classe ainsi que sur les bancs de la cour de récréation. Tomás ne voulait pas se faire d'amis, car il redoutait de les décevoir et de leur apporter du malheur s'il sympathisait avec eux. Garçons, mais encore plus les filles, malines et pernicieuses à vouloir prouver ce qu'elles valent quand elles peuvent faire ce qu'elles souhaitent de l'esprit d'un autre adolescent de leur âge, perdu et incertain de tout. Des fausses gentillesses, par la brimade, par le soutien d'une couche de popularité acquise auprès des autres élèves, la loi de celles et ceux qui osent prétendre à se vouloir supérieurs rabaisse Tomás à sa condition la plus simple. "Ringard", "idiot", "autiste", "pas fun", "qui craint", l'adolescent échoue une seconde fois après avoir doublé sa troisième année d'ESO et décide de ne plus se présenter à la rentrée suivante pour atteindre le diplôme préparatoire au bachillerato. A seize ans, il a d'autres projets d'épanouissement personnel, qui ne lui apportent que très peu de perspectives joyeuses, que de se concentrer sur des matières scolaires. Ce qui lui convient, c'est d'écrire ses pensées, comme elles viennent, sur du papier, et les relier entre elles par des jeux de sonorité et de champs lexicaux communs. Les mots qu'il aligne dans ses carnets se transforment en textes, mais ne lui permettent pas de résoudre des problème arithmétiques ou d'établir les nomenclatures des éléments chimiques durant les cours de sciences. Il sort du système, ne veut plus en entendre parler, et sait d'avance que le petit ami de sa mère tentera de le trainer à son travail pour le faire bouloter sur un poste de journée où il est payé à faire le même travail pendant huit heures d'affilée avec pour seule pause celle du déjeuner. Pas une voie plus attirante pour Tomás qui ne prend aucune décision et s'attire les foudres de son beau-père qui l'accuse de traîner sa mère dans une situation désespérée s'il ne se met pas à chercher un travail et vite. S'ils vivent à deux sous le même toi avec Tomás, sa mère biologique découche souvent pour passer du temps avec son copain mais ne se sent pas prête de "forcer" Tomás à devoir supporter se retrouver à vivre avec un nouveau père. Elle le connait facilement fragile, le suppose encore sujet à la dépression suite au divorce avec son ancien mari, et ne veut pas lui infliger ce risque de rechuter psychologiquement. Quand Tomás vient à l'interroger sur le moment où la simplicité le voudrait, elle repousse dans le temps l'idée de vivre avec son compagnon et éventuellement le garçon qui se voit rendre la vie difficile à sa mère adoptive.

A seize ans, Tomás entame des démarches plus sérieuses dans la recherche de l'identité de sa mère biologique qui n'est enregistrée dans aucun registre ou document officiel attestant avoir donné naissance à son fils au milieu des années 90. Par une source vague qui lui a donné l'information pour se contenter de le lancer sur une piste inexploitable, Tomás entend dire que sa génitrice aurait déménagé à Barcelone peu de temps après l'avoir mis au monde. La véracité de cet élément est aussi pertinente que le découragement escompté dans le rang de Tomás de la part des autorités compétentes en la matière, mais il n'en a que faire de la probabilité et quitte Lerida pour la capitale de la communauté autonome la plus au nord-est du pays. Seul, pour ne plus être un poids dans la vie de celle qui l'a aimé et qui était prête à le chérir et à le préserver du moindre petit accroc de cette vie, et qui s'est longtemps sentie impuissante devant la loi que les hommes lui imposait. Jamais Tomás n'a pu en vouloir à cette mère adoptive qui a manqué de veine pour faire d'un fils qui n'est pas de son sang, un fils digne et heureux d'être le sien. Tomás ne se sentait à sa place nulle part à Lerida qu'il quitta avec pour simple bagage une grand sac à dos rempli de quelques habits et de ses carnets de composition, dans la quête de son rachat auprès de celle qu'il espérait un jour retrouver. Pour lui vider son sac et tenter de la comprendre, ou au moins d'entendre les raisons de son pourquoi. Le voyage est un trompe l'oeil, car personne ne se trouve au bord de mer à vivre sa vie sans son fils biologique abandonné aux premières heure de son existence. Tomás s'installe et traîne dehors la nuit, faute d'avoir un chez lui, lors de son premier été à Barcelone où il enchaîne les tours d'horloge sans sommeil. Il est accueilli par un groupe de jeunes adultes qui l'encouragent à dévier dans la drogue en échange d'une prise en charge de son confort dans une chambre, mais la situation ne lui plait pas de rentrer dans un engrenage qui pourrait s'avérer sans fin et dans laquelle il deviendrait rapidement redevable sans être en capacité de régler des dettes. S'il touche à la drogue au début, il arrête dans un court délai et se tourne vers l'office du tourisme qui le guide vers une branche des services d'aide sociale au logement. Encore mineur, les autorités lui apprennent qu'il est juridiquement toujours sous la responsabilité des Meléndez et ne peuvent entendre ses déclarations seules. Le père oublié ne répond pas aux sollicitations, et la mère adoptive accepte de venir dialoguer avec Tomás pour le raisonner et le faire revenir à Lerida. Elle se résigne au bout d'une heure, pour des motivations propres à sa vie personnelle avec ce compagnon et des incompatibilités entre l'adolescent et un éventuel père de famille. Les parties s'accordent et Tomás vivra sous tutelle jusqu'à sa majorité accomplie, à condition de se rendre éligible et de se présenter à des offres d'emploi proposées par une agence reliée au ministère du travail et de l'économie sociale. Les postes à pourvoir se valent simplistes, et Tomás accepte son premier contrat de travail en tant que réassortisseur chez Mercadona où il restera jusqu'à la veille de ses vingt ans. Un entretien sur sa situation lui vaut d'être retiré des personnes ayant droit au programme social dont il bénéficiait, pour permettre à un autre demandeur sur liste d'en profiter. Sa situation sociale et financière estimée suffisante pour lui poursuivre dans une voie d'indépendance lui permet malgré lui de passer à autre chose.

Anticiper n'est pas le point fort de Tomás qui se voit donc dans le besoin d'un nouvel appartement, ce qu'il déniche assez rapidement au regard de l'urgence qui ne le laisse pas regardant à l'exiguïté du studio qu'il loue pour une bouchée de pain et qui se veut dépourvu de tout sauf d'un lit et d'un lavabo. Sa nourriture et ses lessives sont à faire en dehors de cette cage qui ne lui sert qu'à dormir et s'entretenir sommairement tous les jours. Ce qui reste plus délicat devient le moyen d'avoir un revenu. Ces tentatives échouent soit par refus de l'employeur qui ne lui trouve aucune expérience pour le poste recherché, soit par découragement au bout de quelques jours d'être embauché là où il ne s'y sent pas à l'aise. Son expérience dans un Starbucks fut des plus brèves, à servir directement le client, à devoir gérer un trop plein de sociabilité qu'il évite de plus en plus, à devoir être acteur de la satisfaction de ces inconnus qui passent, derrière un comptoir où il a le plus souvent les yeux baissés devant cette affluence qui l'effraie aux heures les plus pleines. En moins de deux semaines, Tomás a rendu son tablier pour tenter de trouver ailleurs. Une longue liste de métiers était écartée pour des raisons évidentes que les relations sociales n'ont jamais démontré que Tomás se montrait à son avantage : on oubliait ainsi les idées d'être guichetier au cinéma ou dans un établissement culturel, démarcheur, employé de n'importe quel service dans n'importe quel point de vente, et toutes ces variantes qui demandent du relationnel humain. Pas pour lui qui cherche de la tranquillité, dans un cadre paisible. Horticulteur ? Non, il n'a pas la main verte. Bricoleur il l'est un peu mais abdique rapidement quand une vis perce le bois de travers. Que reste-t-il, que pourrait-il bien faire d'autre qu'achalander des rayons d'une enseigne de commerces de grande distribution si ce n'est être l'assistant d'un petit épicier, ce qu'il finit par convenir avec un anonyme du quartier où il réside quelques mois de plus. Dans cette période d'interlude, Tomás approuve sur l'accord du propriétaire la demande qu'un étudiant universitaire vient leur prier d'accepter pour afficher un tract destiné à la promotion d'un concours musical. Celui qui en fait la promotion lui demande avant même de lui exposer la nature de cet événement s'il est doué pour chanter, et Tomás bloque un instant avant de répondre à moitié indifféremment qu'il écrit des textes mais sans plus. Une réponse rare, un aveu précieux qu'il ne peut plus reprendre maintenant qu'il est lâché, mais qui ne l'engage en rien dès le moment où il comprend l'invitation lancée par l'étudiant dont il a les coordonnées en bas de la création graphique sommaire griffonnée sur ce papier placardé. Un mois de tergiversation, entre le manque de confiance pour se rendre dans le sous sol du bâtiment de la faculté de droit et le mental finement lassé de se prendre la tête pour des choses qui ne changeront jamais dans sa vie. Zéro engagement d'après les dires qu'on lui a confiés, des paroles dont il se méfie. Etonnamment Tomás finit par s'y rendre, dans un accès de lucidité que son quotidien en est au même point mort que celui du début de son existence, qu'en vingt-deux ans rien n'a évolué dans son monde. Crispation supplémentaire lorsqu'il débarque en jogging sweatshirt casquette devant l'immeuble qui ne l'aura jamais vu pour des études supérieures mais uniquement pour un moment éphémère - la plus belle acceptable des durées des choses qui en valent la peine - avant de retourner se terrer dans son taudis pour le reste de ses jours. Mal avisé, peu curieux de s'être intéressé à l'organisation de l'événement, tout se passe dans une boite calfeutrée comme il aurait pu à moitié s'imaginer, sauf qu'il y a plus de prétendants à vouloir passer à l'antenne qu'il n'aurait pensé. A la prise des noms pour procéder à la vérifications des identités révélées par téléphone, il précise qu'il a voulu garder l'anonymat et propose de l'annoncer sous le nom de « Niño Menor » les deux minutes trente où sa voix passera à l'antenne. Il découvre que la session libre est retransmise en live grâce à deux webcams installées par dessus les écrans de contrôle, ce qui l'incite à se couvrir complètement la tête de sa capuche quand vient son tour. Anxieux, angoissé devant la poignée de personnes qui lui souhaitent la bienvenue en direct, il garde son corps penché en avant pour que rien d'autre que ses vêtements n'apparait sur la chaîne Youtube de la radio universitaire. Tomás sort ses textes écrits sur du papier brouillon plié en huit dans sa poche, les aplatit devant lui sous ses yeux qui ne regardent que les formes de son écriture, et le trac est à son point culminant de lui rappeler qu'à part fredonner un semblant d'air pour coller à ses compositions, il n'a jamais réellement chanté. Sans son qui l'accompagne, il déclame les mots qu'il a couchés à sa sortie de l'adolescence sur le gamin en perdition de ne rien savoir ni d'avoir hérité de la moindre force de celle qui l'a porté neuf mois avant de l'abandonner pour surmonter la vie qu'elle lui a laissé sans but ni raison. Une bouteille à la mer à laquelle il ne croit pas. Personne ne se reconnaîtra même s'il cite des dates et des lieux précis dans son cri du coeur qu'il finit par embraser car il se l'était convenu, un briquet allumé de ce pouce droit qui actionne le gaz par la roulette sous cette feuille que Tomás a compacté en boulette vers la fin de ses pensées qui ne cessent de l'obséder quelque part à chaque nuit qui recouvre un jour de plus passé sans la moindre réponse à ses questions les plus essentielles à son âme. Tenant le coin du papier entre deux doigts de sa main gauche, son texte part en fumée parce que désormais qu'il l'a partagé, sa valeur confidentielle et personnelle l'amène à tout réduire en cendres... en occultant que le streaming live permet de récupérer son passage dans l'émission. Le "concours" se juge sur les réactions à chaud, les commentaires, les likes des extraits de chacun, et Tomás n'en a que peu faire de tout cela qu'on lui montre, des smileys compatissants et attentionnés que les auditeurs lui attribuent comme "note". Il n'est pas venu pour percer ni pour être mis en avant comme les initiateurs ont tenté de vendre l'événement. Alors il essuie une remarque sur le fait qu'il aurait pu mettre le feu au studio, ce qui est vrai mais dont il se moque, d'autant que ce n'est pas survenu et que le peu de flammes ont été circonscrites pour finir éteintes à la lueur de ce petit coup de projecteur bien trop éclairant pour Tomás qui recevra de ce court passage une opportunité qu'il saisira de son propre chef à vingt trois ans d'intégrer la programmation de cette même radio pour y tenir l'antenne pendant une heure le mardi soir et deux heures le jeudi soir, repoussés ensuite en début de nuit avant le lancement de la nocturne en lecture automatique de musiques pendant les heures où personne ne tient l'antenne. Il y tient des billets d'humeur, des lectures de textes et des interventions d'auditeur sur des situations familiales, sociales et relationnelles. A la tête de cette ou de ces deux heures de partage et d'échanges, Tomás n'est pas le plus avare pour dévoiler sa propre histoire et se retracte la plupart du temps derrière des articles de psychologues et d'experts dans les domaines de l'éducation, de l'enfance et de l'évolution personnelle pour poser les bases des théories débattues avec des gens qu'il ne connait tout aussi peu qu'eux le connaissent. S'il a enfin daigné admettre son prénom dans la grille des émissions de la radio, certains qui se souviennent de lui et de son passage le surnomment encore Niño Menor et le taquinent sur le fait qu'il faisait bien plus âgé que ce qu'on peut penser de ce nom qu'il s'était donné lors de son tout premier passage à l'antenne. Ses semaines sont aujourd'hui rythmées par ses deux créneaux qui précédent les nocturnes, ce qui lui permet de profiter ensuite de son décor préféré une fois le studio fermé pour la nuit et dehors sous le ciel étoilé qui l'intrigue tant. Mais fait plus marquant, c'est qu'il vit en colocation depuis deux ans avec quatre autres garçons dans un grand appartement, même s'il garde ses réserves et sa zone personnelle assez large avec une des deux seules chambres individuelles du logement et un train de vie peu axé sur la cohabitation. Seul le loyer abordable pour ses maigres revenus, et sa tolérance de l'espèce humaine - du moins des quatre gaillards qui peuvent le croiser au même domicile - ont eu raison de le voir quitter un endroit à la limité de l'insalubrité et où la totale indépendance valait d'être remise en question pour celui qui pouvait gérer si peu de choses au bout du compte.

Balance, natif du premier décan de ce signe, Tomás s'intéresse à différents concepts et croyances dont l'astrologie qui est celle à laquelle il adhère le plus. Catalogué de naïf par l'un de ses colocataires quand il le voit se pencher sur des articles et interprétations du caractère de chacun, il se détache très peu de ces lectures où la majorité de ce qui en ressort s'applique très bien à lui-même et aux gens qu'il a côtoyé dans sa vie, principalement ses deux parents adoptifs.

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Pseudo : Robbie / Gemini Âge : xxxi ans (un peu plus bientôt comme aime me le rappeler @M.Sophie Ward) Ton arrivée ici : en douceur ton avis : l'idée de ville et de city est bon, reste à concrétiser tout ça avec des persos ! DC : Oui, Yassine Cherraoui-Manzanares inventé/scénario/PV : inventé crédit : we heart it (avatar), mark uyl & Pinterest (icons)  
par Moses. sur Bazzart


Dernière édition par Tomás H. Meléndez le Mar 1 Nov - 12:11, édité 6 fois
Anonymous
Invité
Oooooouuiiiii excited excited excited
Re bienvenue parmi nous :)
Hâte d'en lire plus sur ton personnage yeah
Anonymous
Invité
Re-bienvenue parmi les fous que nous sommes !!
Olivia Sorola
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Rebienvenue sur le forum merci pour ta fidélité et bon courage pour ta fiche :)

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ஃ   Dans chaque enfant il y a un artiste. Le problème est de savoir comment rester un artiste en grandissant.  ஃ
Soledad Z.Ortiz
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(askip t'aimes bien les cœurs hide )
Rebienvenue chez toi.  coeur2

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Tomás H. Meléndez
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Merci tout le monde   coffeee angeel

@M.Sophie Ward un seul cœur pour ma vie  Tomás ☆ hacemos infinita la noche ★ 1f4ab coeur2
Tomás H. Meléndez
Tomás H. Meléndez
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Plop.
Semaine chargée au boulot, c'était boulot-dodo-boulot-dodo.
Je me remets sur ma fiche pour la finir d'ici ce soir/demain matin  sosorry
Adrian Munoz
Adrian Munoz
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Pas de soucis ! Merci a toi d'avoir prévenu ;)
Tomás H. Meléndez
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C'est le minimum à faire quand on s'engage quelque part.
Du coup je viens seulement de la terminer.
Soledad Z.Ortiz
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Bravo ! Tu es validé(e)

A en parler des minutes entières, la veille même..  coeur2  Il reste et demeure malgré la lecture de cette sublime fiche, une véritable énigme pour moi. Intriguant, Captivant, avec ce côté du "On ne sait comment l'aborder au final" un poil effrayant..  Quel personnage!  fall  Tellement hâte de t'embarquer avec Sophie, tellement hâte que tu m'embarques avec Tomàs ! C'est un grand OUI pour la validation de cette fiche.  coeur2

🟣🔵🟢🟣🔵🟢🟣🔵🟢🟣🔵🟢

Tu vas pouvoir, démarrer ta vie à Barcelone. Tout d'abord, comme l'erreur est humaine, vérifie si ton pseudo apparait bien dans le registre des avatars ainsi que ton métier juste ici. Pour une bonne intégration, tu vas avoir besoin de liens, tu trouveras toutes les fiches des différents membres dans cet endroit ! Une fois que tu auras tisser quelques connaissances, n'hésites pas à demander un sujet dans cette partie. Si tu préfères faire complétement au feeling, on te recommande la partie des réseaux sociaux, tinder ou instagram, t'aideront sans doute à te faire des amis, voir plus! N'hésites pas non plus à te relaxer dans la partie flood, les membres y discutent et quelques jeux sont là pour te détendre ! N'oublie pas aussi que tu peux discuter avec eux sur notre serveur discord .

On te souhaites de tout cœur un bon jeu sur Hola Barcelona Escuela, et que tu t'amuses bien avec ton personnage, et on reste disponible bien sûr en mp si besoin  I love you
BY .SOULMATES


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