Une gracieuse princesse royale [finito]

Mon histoire
→ Ayane est la première fille du « Reiwa Tennō » et la petite-fille du « Heisei Tennō » dans sa langue maternelle. Il s’agit tout simplement des titres royaux. Son grand-père est l’Empereur émérite, Akihito et son père, l’Empereur Actuel, Naruhito. Elle a vu le jour à l’hôpital de la maison impériale dans les jardins de Kōkyo, l’arrondissement de Chiyoda à Tokyo.

→ Dans son pays, elle est donc Toshi-ni-miya Ayane, soit Princesse Impériale ou Princesse Toshi. Contrairement aux traditions du Japon, ce fut le prénom choisit par ses parents sept jours après sa naissance. Elle a reçu le même jour son emblème personnel qui est duo de fleurs de pivoine de couleur rose et de fleur de prunier de couleur violette. Au japon, la fleur de pivoine représente l’indépendance, la force d’esprit et la bonté et elle figure parmi les plantes protectrices. Les fleurs de prunier évoque l’espoir, la beauté et la joie. De cette façon, cet emblème est censé représenter la princesse qu’elle est.

→ Elle a grandi auprès de ces deux parents qui ont préféré élever eux-même leur fille plutôt que de les confier à des précepteurs. Ce qui vient faire une rupture avec les traditions qui incombent la famille royale. Mais l’Empereur estime que ce ne sont pas à des personnes extérieures d’éduquer ses enfants. Il a annoncé publiquement qu’avant d’être un Empereur, il est père et que ce serait dérogé à ses devoirs parentaux. Les Empereurs sont très souvent vus comme des messagers des divinités, il précisa que le rôle premier d’un dieu est de guider son peuple vers le savoir et la connaissance. De cette façon, l’agence impériale (qui se charge des affaires personnelles et officielles de la famille royale) cède et laisse l’éducation d’Ayame à l’Empereur et sa femme.

→ Elle a commencé sa scolarité au jardin d’enfant du Château Nationale des Enfants en  2002 avant de rejoindre la Yôchien du groupe privé Gakushūin. Ainsi de l’âge de trois à six ans, elle grandit avec des camarades venant majoritairement du domaine aristocratique. Le groupe privé  Gakushūin s’occupe de l’éducation de tous les membres de la famille royale depuis de longues générations. Son père, son oncle et son grand-père y sont passé avant elle. Elle commença même la danse, sport que sa mère à pratiqué avant elle.

→ A l’âge de six ans, elle entre au shôgakkô du même groupe privé. Même si au départ, elle a été victime d’harcèlement, elle s’est vite reprise, affichant ouvertement un caractère bien trempé, refusant de se laisser marcher sur les pieds. Manifestant des stratagèmes ingénieux pour s’en prendre à ses harceleurs, ses derniers finissent par être exclu de l’école, devenant ainsi un leader pour toutes les filles de son école victime de harcèlement. L’agence Impériale avait pensé la retirer de l’école à un moment, mais elle a insisté pour y rester. Vers sa dernière année, la jeune Princesse était devenue la fille populaire et inaccessible selon les élèves. Mais la réalité est tout autre. Dés qu’elle soupçonnait la moindre trace de harcèlement, elle n’hésitait pas un seul instant à prendre la victime sous son aile pour la protéger et l’aider à surmonter ça. Pendant les vacances d’été, elle participait à un programme d’échange lui permettant d’aller dans d’autres pays comme l’Angleterre, l’Espagne, la Corée ou la France.

→ Alors qu’elle a douze ans, elle entre au Chûgakkô pour trois années supplémentaires. Restant la leader et l’activiste contre le harcèlement à l’école, elle devient rapidement la porte-parole de toutes les personnes victime d’harcèlement scolaire et au sein du groupe privé, elle devient la protectrice des faibles et la garante d’une scolarité saine. Véritable modelè d’excellence, elle a une scolarité exceptionnelle mettant en avant son intelligence et son mérite. Elle aide même ceux qui sont à la traîne scolairement parlant afin de maintenir la barre haute du groupe privé qui se charge de son éducation. Beaucoup mirent ça sur le faite qu’elle est membre de la Famille Royale, mais cela fut lourdement démentie par l’Agence Impériale et la direction du groupe privé. A titre de preuve, la jeune princesse s’inscrira à un concours général qu’elle remporta haute la main, faisant ainsi taire les mauvaises langues.

→ Dés l’âge de quinze ans, elle entre au Kôtôgakkô pour trois années supplémentaires. La jeune fille avait pris en confiance, de la grâce et elle continue la danse en dehors du collège. De part ses fonctions officielles et ses divers échanges scolaires, la jeune princesse parvient à développer la maitrise de quatre langues supplémentaires : l’Anglais, le Coréen, l’Espagnol et le Français. Forte de son apprentissage, elle se débrouille pour ne jamais en perdre l’usage. Par exemple, elle s’est mise à parler l’Anglais à la maison pour discuter avec son père et l’Agence impériale a dû se résoudre à embaucher des personnes capables de lui faire travailler ses langues. Selon l’Empereur, ces langues lui ouvriront beaucoup de portes pour son avenir alors, il préfère se plier à la demande de sa fille.

→ Obtenant son diplôme avec brio, elle entame l’université à ses dix-huit ans. Choisissant la branche des langues vivantes, elle développe de plus en plus ses facultés linguistiques. Mais au bout de deux ans, elle finit par tout arrêter, après l’obtention de son diplôme supérieur. Ne pouvant plus supporter le poids qu’elle porte sur les épaules de Princesse Impériale, elle décide de quitter son pays natal afin de développer sa passion pour la danse et le chant. Cette décision a été difficile à admettre pour ses parents mais la véritable raison est le fait qu’elle n’a pas apprécié de voir le projet de loi sur la succession au trône du chrysanthème autorisé aux femmes annulée. Cela a été sa première réelle dispute avec son père, l’Empereur.

→ Estimant ne plus rien à voir avec la famille royale, puisqu’elle ne pourra jamais monté sur le trône, elle n’a plus aucune raison de suivre l’éducation royale qu’on lui donne depuis sa naissance. L’agence Impériale annonce alors le départ de la jeune Princesse de son pays pour l’Espagne. Cette rupture scinde la famille. Sa mère est profondément blessée par la décision d’Ayane. La jeune femme aime sa famille, mais ne peut pas supporter que son frère soit l’héritier et pas elle alors qu’elle est née avant lui. On l’a toujours éduqué sur le principe qu’elle deviendrait un jour Impératrice et donc la pilule ne passe vraiment pas. Cependant, son père ne veut pas l’exiler de la famille royale et décide de la nommer représentante impériale en Espagne et ceux durant toutes ses études là-bas.

→ Acceptant ce titre, elle quitte Tokyo pour Barcelone afin d’entrer à la célébre Escuela Salvadore Dali. Ayant choisi les arts de la scène, elle prend le cursus danse avec une option chant. Intégrant l’école en Septembre 2019. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, tout le monde l’appelait Princesse mais elle a brisé les clichés en leur demandant de la considéré comme une élève normale. Cela a été long et dur mais, cela a finit par être accepter. Grâce à son franc-parler et son caractère, elle devient peut-à-petit une fille populaire, apprécié par beaucoup de monde et surtout une véritable leader.

→ Cela fait trois ans qu’elle étudie à Barcelone et elle arrive sans aucun mal à cumuler son statut d’étudiante et représentante. Sa maitrise de la langue espagnole facilite tous ses déplacements. Loyale à son pays, elle est encore en contact avec sa famille via la technologies d’aujourd’hui. Bien sûr, elle n’en veut pas à son père, mais elle ne se sent plus vraiment à sa place dans son pays natal alors elle préfère penser à elle. Vu que de toute façon, elle finira par être exclue de la famille royale le jour où elle se mariera. Se sentant plus libre ici, elle profite de ses études pour être une adolescente le plus normal possible.

→ Durant la crise sanitaire, elle a profité des vacances pour rentrer au pays et y apporte son concours. Certes, elle n'avait aucun diplôme dans la santé, mais elle a pris son courage à deux mains et elle a porté l'uniforme d'Ambulancière afin d'aider son peuple à surmonter la crise. Apprenant sur le tas, elle se montre dévouée, loyale et surtout investie dans ce qu'elle s'était engagée. Grâce à tout ça, son père l'a récompensa de deux décorations : 1er Ordre de la Couronne précieuse et 1er classe de l'Ordre du Trésor sacré qu'elle a reçu tout récemment.