Le Deal du moment : -20%
-20% Récupérateur à eau mural 300 ...
Voir le deal
79 €

Aller en bas
Rym L.Madani
Rym L.Madani
Je viens tout juste d'avoir : 28 Mon quartier, c'est : El barri gotic y el born.
Et pour essayer de gagner ma vie, je fais : infirmière libérale.
Messages : 824
Date d'inscription : 20/02/2022
https://hola-barcelona.forumactif.com/t353-rym-x-quem-nao-ve-bem

(Yo te he nombrado reina)
Quelques clichés sous le bras, un sourire espiègle aux lèvres, une idée dans la tête que ce que tu apportes jusqu'à l'élève que tu as pris en photo il y a peu lui permet de regagner peu à peu confiance en elle. La photographie est une de tes passions. Capturer un moment, même les plus insignifiants pour certains est quelque chose de très précieux pour toi. Rien n'est prit en photo au hasard. Un regard, un sourire, une émotion peu importe laquelle. Tu t'entêtes à croire que l'humanité peut être encore belle malgré tout. Il y a des gens, du moins, qui parviennent à la sauver quand, enfant, adolescent, tu avais cessé de croire en elle. Le milieu dans lequel tu as grandis, évolué, est bien différent de la vie que tu peux avoir aujourd'hui à Barcelone. Le clocher des églises contre les impact de balles et les hurlements des pauvres gens du quartier à Médellin. Un havre de paix qui ne t'empêche pourtant pas de repenser parfois au passé, et ce d'avantage depuis que tes yeux ont pût recroiser les siens. Elle était la dernière personne que tu imaginais pouvoir apercevoir dans les rues de Barcelone, la seule véritable qui a sût faire chavirer l'homme que tu étais. L'amour n'avait pas sa place chez les Soriano, et toi, adolescent talentueux aux rêves de vivre un jour de ce qui te faisais le plus plaisir à l'époque, avait finit conquis, séduit par ses beaux yeux bleus et ses traits d'une douceur inouie. Un ange sur terre. Le plus beau de tous. Une maitresse marionettiste qui te tirais les ficelles sans que tu ne crains d'agir sous son commandement, elle savait faire battre ton coeur comme aucune autre n'a pût le faire jusqu'alors. Cette fille la, tu aurais aisément pût lui demander sa main, voir un semblant d'avenir avec elle. Tu en étais amoureux de cette fille la. Malone Soriano amoureux de la belle Nieves Mendoza. Elle n'avait pas une vie de rêve elle non plus, et tu ne l'as su que peu après que son père était endetté jusqu'au cou. Il devait cette somme colossale au tien, et en absence de remboursement rapide voir imminent, c'était la mort qui l'attendait.  Cet homme la, celui qui t'as reçu chez lui,  la ou tu as dîné plusieurs soirs à sa table, c'est lui que tu as tué. Ce n'était qu'un accident. Pourtant tu as pressé la gâchette, une balle s'est échappé du revolver pour venir se loger dans sa boite cranienne. L'homme s'est écroulé sur le sol, livide, inerte, mort. Tu as pleuré comme un gamin ce soir la parce qu'une partie de toi savait pertinemment que sa mort signait la fin de ta relation avec Nieves et que plus jamais tu ne saurais la serrer dans tes bras sans repenser à tout ça. L'entendre pleurer la mort de son père que tu as toi même abattu. Quel homme pourrait vivre avec ça sur la conscience? T'as préféré fuir. Tu es lâche Malone et tu l'assumes. A chacun sa façon de faire son deuil, quand Nieves conduisait son père jusqu'à sa destination finale, et que toi tu es parti pour l'oublier bien qu'au fond de toi, tu n'as jamais réellement sût le faire.

Ta vie colombienne était bien loin derrière. Cette nouvelle vie te souris enfin. Tes rêves se sont accomplis et tu as la chance de vivre de ta passion première; Le dessin, l'illustration. Tu dessines pour des gamins en quête de rêves et d'imaginaire, les mêmes qui n'ont pas le droit à une vie stable, les mêmes gamins que toi à l'époque. Tu leur offre un bout de ton imaginaire et tu espère que eux au moins pourront être capable de dormir au soir venu sans cauchemarder jusqu'au bout de la nuit. Les contrats sont nombreux mais tu trouve toujours le moyen de photographier ceux qui te sollicites comme cette étudiante par exemple à qui tu es parti rendre les clichés. Un engagement que tu lui avais fait, celui de prendre les plus beaux clichés d'elle et de lui montrer à quel point elle pouvait être belle et ce peu importe les multiples défauts qu'elle voyait d'elle. Le monde est beau, il suffit juste d'y croire pour que ceux qui en ont le moins conscience finissent lucides. Tu avais finis par la retrouver et c'est avec ce même sourire que tu lui avais tendu sa pochette de photos. Quelques longues minutes plus tard et tu la quittais pour mieux retourner à tes occupations, une satisfaction de plus en tête, un baume au coeur, le même qui sursauta deux secondes plus tard. Un mirage. Un rêve éveillé, celle que tu désirais toujours secrétement se trouvait à quelques pas de toi, dans cette même université ou tu avais rejoint Olivia. Impossible de la voir s'échapper à nouveau, courir n'était pas ton fort, surtout quand il s'agissait de filles, généralement c'était l'inverse, mais cette fois, tu pressais le pas pour la rejoindre, pour l'aborder. «Hey.. Toi, la..» Rêve ou cauchemars, imaginaire ou réalité, tu préférais croire aux deux, car Nieves était un tout à la fois. Ton plus beau rêve, ton plus terrible cauchemars, l'imaginaire d'une vie à deux, la réalité de tes sentiments les plus beaux qui lui sont entièrement réservés. «Qu'est-ce que tu fous la?» Il existe d'autres manières d'aborder une femme,surtout que c'est toi qui vient à sa rencontre et non pas l'inverse. Nieves devait avoir certainement une bonne raison d'être au sein même de cette école, pas toi. Tu n'étais que de passage pour obtenir une récompense à ton travail acharné. Cet endroit n'est pas le tien, tu te préfères dans ton bureau au sein même de ton appartement pour crayonner. «Tu compte encore m'éviter ou t'accepterais de venir boire un truc avec moi?» Petit rappel de vos retrouvailles ou Nieves avait passé son temps à te fuir quand toi tu cherchais désespéremment à la rattraper. La vie vous rapproche à nouveau l'un de l'autre et tu ne compte pas laisser ce parfait coup du destin te filer entre les doigts. Une évidence que toi et elle ce n'est pas terminé et qu'il y a bien des sujets à aborder, bien des choses à éclaircir, de part tes désirs et tes envies de la reconquérir bien que tu imagines déjà que cette tache colossale te donneras plus de fil à retordre qu'autre chose. «On a besoin de parler toi et moi.» Oh je ne suis pas dûpe Malone, je sais pertinemment que tu n'auras pas le courage de parler de son père ni même que tu sais qui l'a tué, tu cherches à la reconquérir, pas à la faire fuir, alors tu t'abstiendrais de discuter de cela, il te faudras beaucoup de courage pour te noyer dans ses yeux sans ressentir la crainte qu'elle puisse lire la vérité dans les tiens. Le jeu en vaut la chandelle et rien ne t'arrête quand tu désires quelque chose, encore plus quand il s'agit de Nieves.
 

( Pando )
Anonymous
Invité



Tu recuerdo es como un lamento



Malone & Nieves

Un message et ton cœur vacille dans un autre temps. Un temps où la vie te semblait si simple du moment que tu pouvais sentir ta main dans la sienne. Ce temps où le simple fait de chanter sous son regard suffisait à ton bonheur. Tu te moquais de finir riche et célèbre du moment que ta famille se construisait en sa présence. Ce temps où tu rêvais de porter un jour ses enfants sous ses innombrables caresses. La journée d'hier s'était achevée sur le vibreur salvateur de ton téléphone alors que tu t’étais enfin décidé à laisser la joie prendre le dessus aux doutes. Quelle réponse allais tu lui donner ? Tu t'en moquais seul compté ce petit bout de message … Il ne t'a donc pas oublié depuis tout ce temps. Alors telle une adolescente tu avais pris la direction de ton appartement le cœur léger mais surtout rajeunit d'une bonne dizaine d'années.

Réveil en fredonnant une chanson que tu avais l'habitude de chanter dans les bars de Colombie. Pas de prise de tête aujourd'hui juste la joie de profiter de la douce nostalgie du passé. La douche bien que brève laisse sur ta peau une douce effluve de monoi alors que tu enfile une robe noire qui met en valeur tess formes. Rien de sexy, juste une robe noire toute simple légèrement fendue sur le coté alors que ton maquillage est discret. Sans surprise tu laisse tes cheveux qui commencent a onduler aux pointes tomber sur tes épaules. L'air de l'hiver ne gâche pas ta bonne humeur, au contraire même tu l’accueille le cœur léger alors que tu te dirige vers l'université. Le premier cours se passe sans accro alors que tous les élèves sont surpris de voir leur professeur métamorphosée alors qu'hier la moindre fausse note suffisait à l'agacer. Le sourire au lèvre tu  n’hésite pas à chanter à ton tour pour accompagner tes élèves  dans l’apprentissage du chant.

Ta matinée s'achève sous les rires joyeux de tes élevés que tu applaudis doucement avant de les voir quitter la salle un par un. Tout sourire tu attrape ton téléphone pour relire le message de Malone. Même si l'envie de lui répondre te démange tu ne le fais pas. Oui tu lui répondras mais pas tout de suite ! Tu veux le voir souffrir de l'attente de ta réponse enfin tu l'espère. Petite vengeance passagère car tu sais très que comme toujours tu céderas car il n’est pas n'importe qui. Il est homme qui t'a fait vibrer et pour qui tu vibre encore. Cet homme est beau à en mourir … A peine sortie de ta classe qu'un élève t'interpelle pour te demander conseil sur le choix d'une chanson pour une future évaluation. Hochant doucement la tête tu donne ton avis jusqu'à ce qu'une voix t'interpelle dans ton dos. Sans attendre tu te retourne tout sourire pour croiser le regard de ta jolie rousse Olivia, qui te répond d'un sourire à son tour. Malheureusement ton sourire se fane face à l'homme à ses côtés qui vient de t'importuner sans aucune politesse.

Sans attendre tu le vois te faire front alors qu'il débite des mots que tu n'écoute qu'a moitié. « Tu ne manque pas de culot. Je travaille ici ! Et je te retourne la question quoique non laisse moi deviner, tu es venue rendre visite à ta nouvelle conquête, tu es si serviable Malone ! » Tes mots sarcastiques laissent transparaître la jalousie qui bouillonne dans tes veines. Ton démon vient de gâcher ta journée qui venait pourtant de si bien démarrée. La colère prend possession de ton être alors que tes joues commencent peu à peu à se colorer de rouge. Ne voulant pas devenir une bête de foire sur ton lieu de travail tu décide de prendre la fuite avant de perdre la tête alors que de nombreux regards se tournent dans votre direction. « Je n'ai rien a te dire.» Sans attendre tu effleures son épaules pour t 'éloigner le plus loin possible de lui. Un pas, deux, tes jambes te semblent si lourdes à croire que ton corps lutte contre ta raison pour profiter de la présence de cet homme qu'il reconnaîtrait entre mille. Soupirant tu croise les bras sur ta poitrine en te retournant « Donne moi une seule bonne raison d'accepter d'aller boire un verre avec toi ! » Tu le défie du regard alors que tout ton être hurle pour sentir ses bras autours de ton corps tout en sentant ses lèvres sur les tiennes. Tu es si faible face à cet homme alors que l'envie de le faire souffrir s'oppose à celle de l'aimer sans mesure.
 


© mad'eyes (code&icons)

Rym L.Madani
Rym L.Madani
Je viens tout juste d'avoir : 28 Mon quartier, c'est : El barri gotic y el born.
Et pour essayer de gagner ma vie, je fais : infirmière libérale.
Messages : 824
Date d'inscription : 20/02/2022
https://hola-barcelona.forumactif.com/t353-rym-x-quem-nao-ve-bem

(Yo te he nombrado reina)
Serait-ce un soupçon de jalousie qui te parviens aux oreilles quand celle que tu considérais comme "l'unique femme de toute une vie" ouvre les lèvres pour t'offrir le doux son de sa voix ? Peut-être. Certainement. Persuadé presque que ça soit le cas, tu lèves quelques secondes les yeux au ciel, dégageant un lourd soupire d'entre ta bouche qui peine à rester figée devant un tel comportement. Une commissure gauche qui s'étire faiblement, sourire amusé ou rassuré de savoir que ta colombienne puisse éprouver un sentiment de jalousie envers une quelconque femme que tu aurais pûs croiser en ses lieux. Tu aurais pûs confirmer ses dires si ton humeur aurait été d'avantage joueuse et taquine, mais rendre Nieves encore plus hystérique qu'elle ne l'était déjà en temps normal ne faisait clairement pas parti de tes intentions. Ce soupire en disait déjà de trop sur ce que tu pouvais penser de sa jalousie mal placée. Aucune femmes, aucune conquêtes, aucun plan d'un soir. Rien. Le néant. Le vide intersidéral. Ca en était presque hillarant. L'homme qui apprenait à profiter pleinement de sa vie Barcelonaise en enchaînant les corps féminins et qui, du jou au lendemain refusait prudement les avances même des plus belles plantes légèrement enivrées qui n'étaient pas prêtes à se faire passer la bague au doigt.  Profiter. Tu ne connais désormais plus ce mot et ce depuis que elle est entré à nouveau dans ta vie. Comme un poison qui coule dans tes veines, celui qui serait capable de t'anéantir, de te tuer. Drogué par cet air de chez toi, par son regard clair et ses courbes divines qui te font frémir de l'intérieur, bouilloner d'envie de pouvoir y poser à nouveau les doigts et de savourer le contact de sa chair contre la tienne. La voir si loin de toi est un supplice, l'entendre te cracher toute sa haine sur le visage est un calvaire que tu endures difficilement. Malone reste debout, mais Malone faiblit pourtant de jour en jour en repensant sans arrêt aux conneries qu'il a pût faire par le passé. Les conneries qui t'ont fait tout perdre, jusqu'à l'amour de ta vie.

A nouveau elle te fuis, effleure à peine tes épaules. Ce simple contact ou son parfum et odeur est parvenu jusqu'à tes narines te fais fermer les yeux. Un rien d'elle te suffit. Tu savoures le peu qu'elle t'offre en ne manquant pourtant pas de l'interpeller à nouveau avant qu'elle disparaisse une nouvelle fois de ton horizon, ou de ta vie, à voir. «Nevy!» Tu espères que ça suffit, parce que tu n'es pas prêt à lui courir à nouveau derrière bien que tu pensais être prêt à lui fournir tout les efforts du monde pour tenter de te racheter. Tu espérais simplement qu'elle soit assez intelligente pour rester, pour t'entendre. Passer quelques minutes de plus avec elle pour pouvoir la contempler juste un peu, que ça soit même des heures avant qu'elle ne t'anéantie à te dire qu'il n'y aurait plus jamais de toi et d'elle, d'elle et toi, de ce couple idylique que tu as pus formé avec elle par le passé. Ta plus belle histoire d'amour, celle que tu n'as jamais véritablement sût oublier malgré les années. Nieves Mendoza quand toi tu n'étais que Malone Soriano, ou le "Fils Soriano", le petit con, le pote de son frère du quartier, celui que peu de gens fréquentait parce que la plupart d'entre eux craignaient secrétement les Soriano. Jamais tu ne pourrais oublier qui tu es réellement. Un Soriano. De la mauvaise graine qui, même en se rachetant restera un lâche quoi qu'il advienne. Figé à même le sol, tu ne parviens plus à entendre le son de ses talons qui claque. Aurait-elle déjà disparue ? A moins qu'elle ne se soit décidé finalement à te faire face? La deuxième réponse reste la plus probable des deux, et cette dernière se confirme quand la voix de la sulfureuse brunette se fait à nouveau entendre. Elle est la. Elle n'est pas partie. L'espoir renaît en toi. Ce n'est pas le moment de gonfler l'égo et de croire qu'elle t'aime encore ou tu risques de tomber de très haut, mais l'évidence est la. Elle a beau te fuir, au final elle te revient toujours. Et tu commences à croire que cette foutue destinée existe, et que si deux âmes soeurs sont fait pour être ensemble, alors ils finissent toujours par se retrouver.

Malgré tout, tu restes prudent. Face à elle désormais, tu n'oses t'approcher de trop près de peur qu'elle recule ou qu'elle ne change d'avis. Et si c'était le cas, la rattraper par le poignet, le bras ou autre était bien trop risqué pour toi. L'imaginer crier et attirer de ce fait les regards sur vous était la dernière chose que tu souhaitais à ton tour. Tu n'as clairement pas envie de passer pour le mec un peu lourd, à la limite du violeur qui souhaite abuser d'une pauvre jeune femme au sein même d'un établissement scolaire. En soit, tu ne crains pas de recevoir des coups de pseudo chevaliers en armure prêts à défendre la pauvre demoiselle en détresse, c'est donner des coups qui t'effrayais. Le sang chaud certainement, la fougue et l'impulsivité qui gronde en toi encore pire. «Parce que j'ai jamais su réellement tourner la page. Parce que j'en ai clairement ma claque que tu continues à fuir alors que je peux lire dans tes yeux que tu es en quête de réponses. Sur toi, sur moi, sur nous.. sur Médellin.» La vérité et rien que la vérité. Ton regard ne quitte pas le sien. Impatient, agacé ou juste froid, tu te fiches de savoir pour qui ou pour quoi tu peux passer tant que la vérité est la. Tourner autour du pot ne t'intéresse pas, c'est elle qui gravite autour de ton monde, pire encore, elle se l'ait accaparé depuis son retour dans ta vie. «J'ai merdé Nevy.. Putain je voulais pas tout ça!» La quitter. Partir du jour au lendemain de vôtre Colombie natale pour refaire ta vie, oublier le meurtrier que tu étais. En cavale bien que la police n'avait aucun soupçon sur toi et sur les actes que tu as commis. Croire que recommencer une toute nouvelle vie t'aiderais à tourner la page et à fermer le livre,  sauf que tu aurais du le brûler ce livre, ou l'arracher, le détruire totalement au lieu de le garder scellé dans une boite dont toi seul avait la clef. Toi, et elle. Elle avait ce pouvoir de tout remettre en question, elle avait cette magie de remonter des années en arrière pour te faire voir à quel point tu pouvais être heureux avec elle, à quel point l'aimer était la chose la plus belle que tu avais fais dans toute ta vie. «J'ai merdé..» De A à Z ou de Z à A, t'as pas recommencé ta vie Malone, t'as juste apprit à faire sans l'ancienne, temporairement. «Et t'as le droit de penser que je suis le pire connard de cette terre, mais laisse moi juste quelques minutes de plus en ta compagnie.. s'il te plait.» La regarder, la contempler, l'apprécier à sa juste valeur, parce qu'elle en avait de la valeur, à tes yeux, à ton coeur. La simple idée qu'un autre homme puisse en profiter plus que toi te fous la rage. Cette nana la, tu l'aimes. Cette nana la, elle te rends vulnérable. Cette nana la, elle te fais peur quelque part, pour l'emprise qu'elle a sur toi, de sa façon de te dicter tes mouvements, toi qui t'étais refuser de la toucher et qui pourtant était la, à la rejoindre avant qu'elle ne disparaisse pour au moins lui attraper une main. T'as besoin de ce contact, même faible, mais tu en ressens l'envie plus que n'importe laquelle. Toucher sa peau, chaude ou froide, tant que ça soit la sienne et aucune autre.
 

( Pando )
Contenu sponsorisé
Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum